dimanche 31 mai 2009
IMPORTANCE DU DIAGNOSTIC MARKETING
INTRODUCTION GENERALE
Avant tout autre travaille, nous définissons le concept « marketing », le marketing est un processus orienté vers la satisfaction des besoins et des désirs des individus par des produits ou des services.
En effet ,une entreprise doit mener un diagnostic marketing qui nécessite a une politique bien déterminé en fin de pouvoir étudier les activités qui doivent lui permettre d'optimiser l'utilisation de ses ressources et lui assurer un avantages concurrentiel a long terme sur les marchés étranger.
Ce diagnostic permet a l'entreprise de se mettre au point sa stratégie marketing, c'est-à-dire de développer ses plans d'action par rapport au 4 P compte tenu des objectifs commerciaux qu'elle s'est préalablement fixé et de la position qu'elle ambitionne d'occuper sur ce marché cible.
De ce fait, notre présente étude va essayer de traiter ce sujet avec plus de détaille en quatre chapitres qui sont les 4 P :
-la politique de communication
-la politique de distribution
-la politique de prix, et en fin
-la politique de production.
SOMMAIRE :
INTRODUCTION
Chapitre 1 : la politique de communication
I- la dentition d'une stratégie de communication
1- le concept de communication
a- les différents types de communication
b- les techniques de communication
II- la communication publicitaire par media.
1 - les fondements de la communication
a- la nature de la publicité
b-la publicité media dans la place de communication
2- la création publicitaire.
a- la technique de création et contraintes internationales.
b- la création publicitaire.
1-les stratégies de création ou copy-stratégie.
2- les critères de jugement d'une copy-stratégie.
3-les medias et les supports.
a- les choix des medias et de support.
1-les medias et supports internationaux.
2-internet.
3-medias, supports et objectifs d'une communication.
4-les critères de choix d'un media.
5-les critères de choix d'un support.
III- la communication hors medias.
IV- la mercatique directe.
a-définition.
b-objectif
c- les vecteurs de la mercatique directe.
1- le fichier.
2- le publipostage.
3- la télématique.
4- la télévision
Conclusion.
Chapitre 2 : la politique de distribution
I- les choix en matière de distribution
A -circuit et canal de distribution
1-définition
2-la longueur des canaux de distribution
a- les canaux longs
b- les canaux courts
c -les canaux ultra-courts ou directs
B- les choix d'un canal de distribution
1-les objectifs
2- les contraintes
3-le choix
C -le choix d'une couverture du marché
1-la distribution intensive ou de masse
2-la distribution sélective
3- la distribution exclusive
II- les structures de la distribution finale
A -le commerce indépendant
B -le commerce associé
1- le groupement d'achat de détaillants
2-les chaines volontaires
3-les fonctions de distribution
4-le commerce intégré
III - la politique de distribution du distributeur
A - les composants du marché
1- l'assortiment
2- les concurrents
3- les clients
B -les stratégies de distribution des distributeurs
IV- le merchandising :
A -définition de l'assortiment
1-caractéristiques
2- l'assortiment du point de vente est constitué en fonction
3-le choix de l'assortiment d'un point de vente
B -la localisation des rayons
C -l'implantation des produits dans linéaire
D -implantation des produits dans linéaire
V -PDV- PLV
A -promotion de vente
1-nature et définition de la promotion de vente
2- fonction de la PDV
a- offre une gamme de service au distributeur
b- Shop test
c- gammes d'aide a la gestion
3- détermination des objectifs et stratégie promotionnelles
4- évaluation des promotions
VI- la publicité sur le lieu de vente
A -rôle de la PLV
B -moyen
C -contrôle du rendement
Conclusion
Chapitre 3 : la politique de prix
I- les choix stratégiques en matière de prix
A -le prix variable stratégique
B -les stratégies du niveau de prix
1- les stratégies de pénétration de marché
2-les stratégies d'écrémage
3-Les stratégies de prix différenciées
C les stratégies de standardisation ou d'adaptation
D -les règlements relatifs au prix
E -les déterminations de prix
II- facteurs et contrainte lors d'une fixation de prix
A -les régimes de réglementation de prix
B -les mesures contrent les pratiques anticoncurrentielles
III- les conditions de marché
A - la fixation de prix de la demande
1-le prix analysé par le consommateur comme cout
B -la fixation de prix a partir de la concurrence.
Conclusion
Chapitre 4 : la politique de production
I- les constantes de la politique de production
A -le concept de produit
1- le produit se définit par
2-on distingue trois niveaux de produit
B -classification des produits
1- classification selon la durée de vie de produit
2- classification selon le comportement d'achat
3- classification selon la place dans le processus de production
4-classification par fréquence d'achat
5-classification par degré de nouveauté
C -le cycle de vie de produit
1- les différentes phases du cycle de vie de produit
2-cycle de vie et action mercatique
2- cycle de vie exportation
D -nouveau produit
a- le produit est entièrement nouveau
b- le produit est nouveau uniquement pour l'entreprise
E- stratégie des marques
1- fonction de la marque
2- avantage du nom de marque pour le consommateur
II- la nature de choix en matière de la politique de production internationale
A -l'adaptation ou standardisation du produit
B -gamme de produit
1-dimension de la gamme
2- les fonctions d'une gamme
3-gamme courte- gamme longe
4 -la définition de l'équilibre entre produit dans la gamme
5-les outils de sélection des produits exportés
C -le positionnement
Conclusion
Lire l'intégralité du mémoire sur Mémoireonline.com.
Un Marketing par des Africains pour les Africains.
http://www.emergence-mali.com/
L'agence Marketing des entreprises qui veulent grandir.
Une stratégie Marketing gagnante !
DOSSIER SPECIAL : UTILISER LE MARKETING POUR GAGNER ?
Une expérience qui aurait due continuer. Mais hélas, 1 000 fois hélas ... Enfin.
Au plaisir.
samedi 30 mai 2009
Les logos des marques automobiles.
Nous vivons entourés de logos.
Mais comment et pourquoi ont-ils été créés ?
Ils ont une histoire.
Découvrons l’histoire amusante des logos automobiles que nous croisons quotidiennement sans presque jamais les voir.
Montre moi ton logo, je te dirai qui tu es ... ici !
Bonne découverte.
LE MARKETING TOUT SIMPLEMENT !
Alors commence une longue histoire d'amour entre l'entreprise et sa clientèle : « Je te rends heureuse, et toi, tu me restes fidèle. »
La suite est une question de méthode, de stratégie, de plan de bataille pour conquérir le cœur des clientes et faire en sorte :
* que lorsqu'elles pensent ketchup, elles disent HEINZ,
* que lorsqu'elles pleurent, elles sortent leur KLEENEX,
et ....
* que la seule poudre à lessive qui rende le linge plus blanc que blanc est OMO ou ARIEL, selon qu'on est la voisine de gauche ou de droite.
Albert Davoine.
Tout simplement simplex ...
LE MARKETING TOUT SIMPLEMENT !
DIRRIGER AUTREMENT POURQUOI ?
http://davoine.ca/diriger/
Le texte intégral de cet essai est publié gracieusement sur Internet pour votre information personnelle. Veuillez en respecter les droits d'auteur et mentionner la référence dans le cas de courts extraits pour fins pédagogiques.
Pour toute autre utilisation, veuillez en demander l'autorisation écrite à Albert Davoine. Merci. Bonne lecture ! ©Albert Davoine (1997)
dimanche 24 mai 2009
Marketing Pharmaceutique : Ingrid Etoke ou le dynamisme d'une femme africaine.
Elle a décidé de rentrer au Cameroun où elle travaille comme coordinatrice marketing dans un grand groupe pharmaceutique.
Découvrez avec nous cette femme dynamique.
Lire l'article sur afrikibouge.com.
Bonne lecture.
MARKETING : L'essentiel pour comprendre, décider, agir
Enrichi d'exemples réels, d'études de cas et même d'anecdotes instructives, cet ouvrage aborde plus précisément les spécificités des marchés belge, français, européen et canadien, le comportement des consommateurs et des acheteurs en business to business, les stratégies de croissance, de redéploiement, les erreurs stratégiques à ne pas commettre, la création et le positionnement de produits et services, la segmentation, la marque, les politiques de prix, le développement et le choix des réseaux et circuits de distribution, les stratégies d'avenir pour l'entreprise, les politiques de communication et de publicité.
Un glossaire très utile et deux index, dont un consacré aux enseignes, marques et entreprises, complètent l'ouvrage. Un site compagnon permet d'approfondir l'information.
Cet ouvrage de référence offre aux étudiants, aux enseignants, aux dirigeants d'entreprise, de distribution ou de production et aux consommateurs, une information pratique et complète sur la pensée marketing, analyse, décision et action.
Plus d'infos :
Marketing : L'essentiel pour comprendre, décider, agir
Par Marc Vandercammen, Brigitte Bouton Collaborateur Collectif,
Edition : 2
Publié par De Boeck Université, 2006
ISBN 2804149544, 9782804149543
560 pages
LE MARKETING ALTERNATIF : la solution pour une communication plus créative au Sénégal ?
Un excellent travail que j'ai voulu partagé avec vous .
INTRODUCTION :
Depuis plusieurs années déjà, les professionnels Sénégalais de la communication font usage de la communication multicanale ; pour un meilleur retour sur les investissements, ils mettent en oeuvre des stratégies fondées sur une architecture de canaux différents (Mix média), fonctionnant en synergie et permettant de véhiculer des messages cohérents.
Seulement, le marché évolue ; la mercatique de masse, qui semble aujourd'hui en perte d'efficacité et de créativité, ne suffit plus. Les consommateurs Sénégalais ont changé ; ils vivent l'ère des Technologies de l'Information et de la Communication et leur attention est de plus en plus difficile à capter. L'on ne peut plus se contenter de déverser des messages publicitaires en espérant que le consommateur y prête attention. L'entreprise, la marque, le produit doivent aujourd'hui se démarquer, nouer une relation plus poussée avec le consommateur.
Le marketing a vu le jour dans les années 30 aux Etats-Unis. Depuis, le concept a vu son champ d'application s'élargir et de nouvelles orientations sont apparues ; au marketing segmenté se superpose aujourd'hui la notion de marketing individualisé. Il est donc impératif de repenser une communication publicitaire en adéquation avec l'évolution du consommateur. Ceci aux fins, non seulement de capter son attention, mais également d'établir une relation avec lui.
C'est dans ce cadre que s'inscrit le marketing alternatif comme possible solution pour une communication publicitaire plus créative au Sénégal.
Le terme marketing alternatif regroupe plusieurs nouvelles formes de marketing ; notamment le street marketing, le buzz marketing, le marketing viral. L'originalité et les connexions émotionnelles possibles grâce à ces nouvelles formes de marketing pourraient être mieux exploitées par les professionnels de la communication.
Notre travail de recherche, soutenu par deux enquêtes de terrain, s'est attardé sur les enjeux du marketing alternatif pour la communication publicitaire, les freins à une vulgarisation de ces nouvelles formes de marketing et leur adaptabilité dans un contexte purement Sénégalais.
SOMMAIRE :
DEDICACE ........................................................................................................... i
REMERCIEMENTS ................................................................................................. ii
GLOSSAIRE ......................................................................................................... iii
INTRODUCTION GENERALE 1
Ière PARTIE : APPROCHES THEORIQUE ET METHODOLOGIQUE 2
A. CADRE THEORIQUE 3
1. Problématique 3
2. Objectifs de recherche 4
3. Hypothèses de travail 4
4. Pertinence du sujet 5
5. Revue critique de la littérature 5
B. CADRE METHODOLOGIQUE 6
1. Cadre de l'étude 6
2. Délimitation du champ de l'étude 6
3. Les techniques d'investigation 6
4. Echantillonnage 7
IIème PARTIE : PRESENTATION DU MARKETING ALTERNATIF 9
A. LA PRATIQUE COURANTE DU MARKETING 10
1. Le marketing, qu'est-ce que c'est ? 10
2. Etat du concept 11
B. LA NOUVELLE ORIENTATION DONNEE PAR LE MARKETING ALTERNATIF 12
1. Evolution 12
2. Le marketing alternatif, marketing aux multiples facettes 13
a. Le Street marketing 14
b. Le marketing viral 18
c. La Guérilla marketing 22
d. Le Buzz marketing 23
e. Les média tactiques 23
IIIème PARTIE : ANALYSE DE L'APPLICABILITE DU MARKETING ALTERNATIF AU SENEGAL 25
A. RESULTATS D'ETUDES DE TERRAIN 26
1. Résultats obtenus de l'enquête auprès des consommateurs 26
2. Résultats de l'étude de motivations auprès des professionnels du marketing et de la communication 31
B. ANALYSE DE L'APPLICABILITE DU MARKETING ALTERNATIF AU SENEGAL 33
1. Communication publicitaire au Sénégal et enjeux des solutions alternatives 33
a. Les acteurs de la communication publicitaire au Sénégal 33
b. communication publicitaire et enjeux des solutions alternatives au Sénégal 37
2. Analyse des freins à la vulgarisation des solutions alternatives au Sénégal 41
a. Les freins au recours du marketing alternatif au Sénégal 42
b. Applicabilité du marketing alternatif au contexte Sénégalais 44
RECOMMANDATIONS POUR UNE UTILISATION OPTIMALE DU MARKETING ALTERNATIF AU SENEGAL 46
CONCLUSION GENERALE 47
ANNEXES
BIBLIOGRAPHIE
Lire le mémoire ici.
Bonne lecture.
LA PUBLICITE AU SENEGAL.
Pas une ville et pas un support n'est épargné par les pancartes, les goodies et autres vecteurs "d'image". C'est bien-sûr l'agroalimentaire qui demande le plus de campagnes publicitaires.
Coca-Cola, le géant américain est sans doute le plus représentatif de cette frénésie marketing : depuis des années, l'ensemble des boutiques "africaines", des campements, des bistrots et restaurants sont sponsorisés par la marque de soda.
Panneaux rétro-éclairés, pancartes, jeux-concours et autres actions d'envergure sont offerts aux commerces qui s'engagent à vendre la si célèbre boisson pétillante. C'est donc plus par ce système de "partenariat" que Coca Cola communique au Sénégal.
La suite ici.
Bonne lecture.
mardi 19 mai 2009
Cours d' Initiation au Marketing
http://marketing.thus.ch/loader.php?page=Piton&lcode=
Contenu : Cours gratuit qui explique les principes du marketing.
Chapitres :
I - INTRODUCTION
A - Définitions
B - Evolution du marketing
1) Apparition du marketing : début du XX
2) Premier virage du marketing (pseudo-scientifique) années 50/60
3) Changements de l'environnement - Années 70
4) Deuxième grand virage du marketing : Le marketing d'aujourd'hui depuis 76
C - Les conflits marketing / autres divisions
D - Les 3 dimensions de la compétence marketing
E - L'organisation des services de marketing
F - Les limites du marketing
G - Le marketing-mix
II - POLITIQUE DE PRODUIT
A - Concept de produit (caractéristique)
B - Gamme de produit
C - Le cycle de vie du produit
D - Nouveaux produits
E - Stratégies de marques
F - Positionnement
G - Conditionnement et services
III - LA POLITIQUE DE PRIX
A - La fixation des prix
B - Objectifs de la fixation des prix
C - Facteurs et contraintes lors d'une fixation de prix
D - Les méthodes de détermination des prix
E - Les stratégies de prix (voir aussi les objectifs)
IV - LA POLITIQUE DE PLACE (DISTRIBUTION)
A - La fonction de distribution.
B - Les caractéristiques de la distribution
1) Les différents intermédiaires
2) Les canaux
3) Le choix des circuits
4) Mise en place du système choisi
5) Contrôler le système choisi
C - Stratégie de distribution
D - La politique de distribution des distributeurs
1) Composants du marché
2) Les stratégies de distribution des distributeurs
3) L'évolution des relations producteurs-distributeurs
E - Le merchandising
1) Définition de l'assortiment
2) La localisation des rayons
3) L'implantation des produits dans le linéaire
F - PDV - PLV
1) Promotion des ventes PDV
2) La publicité sur le lieu de vente PLV
V - LA POLITIQUE DE COMMUNICATION
A - Publicité et communication.
1) Quelques définitions
2) Comment la publicité agit sur le consommateur
B - Le budget de communication
C - Stratégie de communication
D - Analyse du processus
E - L'axe marketing
1) Objectifs et stratégies de campagne
2) Eléments de marketing
3) Les objectifs de marketing
4) Infos sur le marché en général
F - L'axe de communication
1) Définir les objectifs
2) Choix des cibles
3) Timing et calendrier
4) La stratégie créative de la communication
G - L'axe média
1) Le média planning stratégique
2) Le média planning tactique
H - L'évaluation de la communication
1) Jugement de la création publicitaire
2) Mesure de l'efficacité publicitaire
I - Les relations publiques
1) Objectifs
2) Cibles
3) Méthodes
J - Le marketing direct
1) Définition et objectifs
2) Champ d'application et avantages
VI - LA PLANIFICATION ET L'ANALYSE MARKETING
A - Le plan marketing.
1) Pourquoi ? Définition et objectifs
2) La mise en place du plan
3) Le contenu du plan
B - L'analyse marketing : Analyse SWOT
1) Analyse SWOT, forces et faiblesses
2) Analyse de l'entreprise
3) Analyse de la concurrence
4) Analyse de la conjoncture
5) Analyse du marché
6) Analyse du consommateur
7) Les études de marché
C - L'analyse marketing : Les autres analyses
1) Analyse des besoins
2) Analyse de l'attractivité
3) Analyse de la compétitivité
4) Analyse du portefeuille d'activités
D - Choix d'une stratégie de développement
1) Stratégies relatives à la lutte contre la concurrence
2) Stratégies relatives à la cible
3) Stratégies relatives à la segmentation
4) Stratégies relatives à la croissance de l'entreprise
5) Stratégies relatives aux éléments moteurs de l'action commerciale
E - Moyens marketing, mise en oeuvre
1) Les moyens en hommes et en structure
2) Les moyens en information : le système d'information
F - Contrôle, diagnostic et Audit marketing
1) Les objectifs d'un diagnostic marketing
2) La mise en oeuvre du diagnostic
Cours de Maketing et stratégie
http://christophe.benavent.free.fr/rubrique.php3?id_rubrique=55
Le site contient un ensemble de documents et de ressources sur le marketing et la stratégie :
Cours de Marketing :
Chapitre 1 : Introduction au marketing
Chapitre 2 : Concurrence et évolution des marchés
Chapitre 3 : Acheteur, Consommateur et Client
Chapitre 4 : Stratégies et marchés
Chapitre 5 : Segmentation et Positionnement
Chapitre 6 : Gestion des marques
Chapitre 7 : Politique de produit et de service
Chapitre 8 : Politiques de prix
Chapitre 9 : Canaux de distribution
Chapitre 10 : Gestion des forces de vente
Chapitre 11 : Communication de masse
Chapitre 12 : Promotion et Communication directe
Chapitre 13 : Gestion de la relation client
Chapitre 14 : Etudes et systèmes d’information
Chapitre 15 : Organisation et contrôle
Cours de méthodologie
Cours de Stratégie :
Chapitre 1 : introduction
Chapitre 2 : Environnement contemporain
Chapitre 3 : Processus stratégiques
Chapitre 4 : Le diagnostic stratégique
Chapitre 5 : Les stratégies primaires
Chapitre 6 : Les stratégies secondaires
Chapitre 7 : La gestion des compétences
Chapitre 8 : Les stratégies de Croissance
Chapitre 9 : Stratégie et Structure
Chapitre 10 : Apprentissage, Contrôle et Stratégie
Cours Veille et Intelligence Marketing
Cours de Méthodologie Quantitative
Gestion de clientèle
Global and European Business Environment
Global Marketing
Management Stratégique
Cours de management des organisations et de marketing
http://www.managmarket.com/
Par Gérard Lécrivain Professeur d'économie-gestion, Académie de Lille
Ce site contient des supports de cours sur les deux themes :
- Management et stratégies des organisations
- Marketing stratégique
Le site contient aussi des dossiers de liens par catégories vers des sites web traitant ces deux sujets : un nombre intéressant de ressources sur le management et le marketing.
vendredi 15 mai 2009
Le marketing au service de votre carrière.
S'il avait su que certaines fois rester dans une situation confortable c'est se mettre dans une situation de précarité professionnelle ; situation que l'on peut éviter en devenant acteur de sa carrière.

En complétant ce tableau avec vos propres informations et en le confrontant au marché (mise en ligne de votre C V, entretiens de recrutement, conseil de cabinet spécialisé comme B2EN,...), vous pourrez ajuster certains des paramètres et agir de manière optimale pour votre avenir.
(1) Théoricien du Marketing, Philip Kotler (27 mai 1931 à Chicago) est un professeur de marketing international à la Kellogg School of Management de l'Université Northwestern.
Réaliser un bon CV
L’essentiel à retenir
Un CV efficace doit être clair, agréable à lire, mais surtout facile à lire, et comporter des renseignements utiles à vos lecteurs :
- le contenu détaillé de votre expérience,
- vos compétences, connaissances, savoir-faire,
- les points forts de votre parcours professionnel, vos atouts pour exercer l’emploi, pour répondre à un besoin de l’entreprise.
En lisant votre CV, l’employeur doit comprendre ce que vous voulez faire, ce que vous proposez.
Pour présenter votre CV, choisissez la disposition qui convient à ce que vous voulez mettre en valeur.
Dans ces deux guides, vous trouverez toutes les informations que vous recherchez :
1. Comment réaliser un bon CV ? (PDF 111.3 ko)
2. Modèles de CV (PDF 262.2 ko)
Source : anpe.fr
MARKETING : LA MARQUE
Fonctions
La sensibilité de l'acheteur à l'égard des marques ne dépend pas seulement de l'influence de la marque, de son pouvoir d'attraction. Il ne faut pas considérer l'acheteur comme un sujet passif. Celui-ci se détermine en fonction de critères qui lui feront choisir une marque plutôt qu'une autre. Ainsi, c'est parce qu'il existe différents types d'implications, que peuvent coexister plusieurs marques, chacune prenant en charge certaines fonctions attendues et d'autres moins.
L'analyse fait apparaître quatre fonctions de base de la marque vis-à-vis du consommateur et deux autres fonctions propres aux entreprises.
Pour le consommateur
• la fonction d'identification en vertu de laquelle la marque identifie le produit en fonction de ses principales caractéristiques.
• la fonction de repérage, conséquence de la fonction précédente, aide l'acheteur à se repérer (logos- couleurs- formats) et à choisir rapidement une marque donnée par rapport à ses concurrents.
• la fonction de garantie renvoie au fait que la marque est un engagement public de qualité et de performance.
• la fonction de personnalisation tient à ce que le choix de certaines marques permet à un acheteur de se situer par rapport à son environnement social ou ses occasions de consommation.
A ces 4 fonctions, s'en ajoutent deux autres qui permettent à l'entreprise de se défendre sur le terrain de la concurrence et d'adopter une stratégie à long terme.
Pour le producteur
• une fonction de positionnement. Elle correspond en fait à la fonction repérage déjà décrite mais considérée du point de vue des entreprises. La marque donne à l'entreprise la possibilité de se positionner par rapport à ses concurrents et de faire connaître au marché ses qualités distinctives.
• une fonction d'image. C'est " l'image de marque de la marque ". Certaines, en raison de leur ancienneté, de la notoriété et de la renommée dont elles jouissent, constituent pour le fabricant ou l'exploitant un véritable patrimoine, résultat au fil du temps d'investissements accumulés.
Responsabilité
On ne peut plus considérer l'entreprise comme un acteur isolé. Le consommateur devient de plus en plus attentif à ses achats et dispose en outre de sérieux relais d'opinion en la personne des associations de consommateurs et des médias. Or, le lien de communication le plus évident qui réunit consommateurs et entreprises est, sans conteste, la marque.
La marque véhicule l'image et les valeurs de l'entreprise auprès de sa clientèle et, à chaque opération d'achat, elle engage sa responsabilité. La marque concrétise donc la signature de l'entreprise et apparaît comme sa principale garantie. La marque doit satisfaire les attentes des clients, à la fois par la qualité du produit ou du service qu'elle est en mesure d'offrir, et par une information claire et attrayante qui la conduise à considérer le consommateur comme un partenaire.
Ainsi, la responsabilité de la marque comporte deux aspects :
a priori, avant l'achat, elle recouvre l'exigence d'un haut niveau de qualité et de constance de cette qualité.
Elle se poursuit à posteriori, une fois l'achat réalisé, grâce aux services consommateurs qui se sont développés depuis une trentaine d'années.
Ceux-ci jouent en effet un rôle important d'information et de médiation en cas de litige. Ils peuvent également infléchir la politique de l'entreprise qui n'aurait pas pris pleinement en compte certains besoins des consommateurs.
De telles initiatives confiées à des responsables dotés d'une certaine indépendance d'action constituent, dans bien des cas, la meilleure protection que l'on puisse offrir au consommateur au sein même de l'entreprise. Ceci implique également que les consommateurs puissent entrer en relation directe avec les marques. D'où le développement de numéros d'appels gratuits, de services et Internet.
Source : Informations pédagogiques sur prodimarques.com
mardi 12 mai 2009
MARKETING : LA MARQUE
Pour l'Organisation Mondiale de la Propriété Industrielle (OMPI), la marque est " un signe servant à distinguer les produits ou les services d'une entreprise de ceux d'autres entreprises ".
De cette définition, il faut retenir les deux éléments essentiels de la marque : son caractère distinctif et l'indication de provenance qu'elle véhicule.
La marque se différencie :
du nom du produit vendu ( qui correspond en général à une réglementation juridique précise). Par exemple, le fait d'écrire " Chocolat " garantie que ce produit est fabriqué avec du cacao et du sucre notamment.
des noms d'origine indiquant la provenance du produit : vins de Bordeaux, fromages de Roquefort, pruneaux d'Agen…
des noms de personnes : ceux du fabricant, de l'importateur, du distributeur du produit, noms qui peuvent parfois devenir une marque.
des signes de qualité qui attestent que le produit correspond bien à certains critères définis par un cahier des charges.
Typologie :
L'intitulé de la loi du 4 janvier 1991 (JO du 6.1.91) distingue les marques de fabrique, de commerce et de service, toutes obéissant aux mêmes règles.
Les marques de fabrique garantissent une origine industrielle du produit (La Vache Qui Rit, Nestlé, L'Oréal Paris).
Les marques de commerce désignent celles qu'un distributeur appose sur les produits qu'il fabrique lui-même ou le plus souvent qu'il fait fabriquer. Elles peuvent reprendre le nom de l'enseigne qui les commercialise (Monoprix, Carrefour, Casino) ou bien avoir des noms spécifiques (Tex).Par ailleurs existent également les marques de franchise qui identifient les produits d'un réseau (Jacadi, Yves Rocher).
Les marques de service identifient les services tous secteurs confondus : Banque, Assurance, Transport, Restauration, etc.Toutefois cette distinction peut se révéler arbitraire car certaines marques peuvent être mixtes, comme c'est le cas chez les pétroliers où les fonctions " fabrication, commerce et service " se superposent.
2. Histoire :
Les origines de la marque sont très lointaines. Les fouilles archéologiques ont mis en évidence que certaines artisans, en Egypte ou en Grèce, avaient déjà pour habitude de signer leur production en y apportant une marque distinctive. Nombreuses sont les marques, à l'époque romaine, figurant sur les tuiles ou les opercules d'amphores. Toutefois, les caractéristiques de la marque moderne sont autrement plus élaborées que cette simple technique d'identification. Elles procèdent d'une évolution historique échelonnée.
Au moyen Age
Le régime des corporations imposait aux artisans que leurs produits satisfassent à des critères de qualité définis par la profession. Les corporations disposaient du monopole des ventes et toute concurrence était interdite entre leurs membres. Le sceau de la corporation témoignait alors de la qualité du produit tandis que les artisans n'étaient pas encouragés à valoriser leur propre marque.
Du fait du développement des échanges avec l'étranger, la marque du fabricant (lorsqu'elle figurait) jouait un rôle de garantie et représentait une protection contre les contrefacteurs.
Avec la Révolution Industrielle
Les échanges s'intensifient. La fonction commerciale, qui était jusqu'alors la préoccupation exclusive des marchands, devient également celle des industriels à la recherche de nouveaux débouchés. Les premières formes de publicité apparaissent ainsi que les premières marques modernes : le briquet de sûreté de " Phénix " en 1825, les bougies de "l'Etoile " en 1831, l'eau de " Botot " en 1840. Mais la marque n'est encore le fait que de quelques précurseurs : elle se cantonne à un rôle de signature.
C'est l'apparition des moyens de promotion des marques et de la publicité qui va en accroître la notoriété et la valeur marchande à travers la presse, l'affichage puis le cinéma. Cette promotion moderne commence entre 1880 et 1900, époque où le savonnier britannique Lever développe une intense campagne de réclame sur sa première marque " Sunlight " qui verra ses ventes progresser de 3.000 tonnes en 1886 à 60.000 en 1910. On voit aussi des boites de lait condensé sucré Nestlé exportées de Suisse dans toute l'Europe.
Ere de progrès technique et de marketing, le XXe siècle suscite l'innovation et la création de gammes de produits de consommation et d'équipement de toutes sortes.Dans tous ces nouveaux domaines, des marques sont cré�hniques dont elles sont issues.
Parallèlement, les moyens classiques de cette promotion s'affirment en se fondant sur une approche psychologique des marques visant à créer autour de chacune d'entre elles un univers symbolique qui corresponde aux besoins profonds des consommateurs potentiels. L'objet devient alors un signe social auquel l'acheteur s'identifie.
Ce ne sont pas les seules caractéristiques techniques qui font vendre les Mercedes ou les BMW mais l'image de prestige que ces marques se sont forgées.
Les marques sont ainsi devenues l'une des manifestations les plus représentatives de l'économie moderne. Elles ont pénétré notre vocabulaire jusqu'à devenir des noms communs tels que Thermos, Bic, Fermeture Eclair, Klaxon, Calepin, Bretelle, Vaseline, Aspirine, Bikini. Beaucoup d'autres se battent pour ne pas tomber dans le langage courant, ce qui présente en effet l'inconvénient majeur de pouvoir être utilisé également par la concurrence.
Le développement de la vente en libre service dans les années 1960, la création de chaînes de supermarchés et d'hypermarchés sur l'ensemble du territoire dans les années 1980 contribuent à la diffusion des marques nationales et internationales. Certaines ont été l'enjeu de batailles boursières considérables devenant ainsi l'un des plus puissants ferments de transformation des entreprises et de l'économie.
Les marques acquièrent une valeur considérable. Selon une étude récente publiée par BusinessWeek la marque Coca Cola est évaluée à 67,525 milliards de dollars en 2005.
Source : Informations pédagogiques sur prodimarques.com
lundi 11 mai 2009
MARKETING SPORTIF : LE MARKETING DE L'OM
Qui a dit que le Marketing est fait uniquement par les entreprises ?

MARKETING SPORTIF : LE MARKETING DE L'OM
Les deux rêves d’un commercial et de son manager
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Bonne lecture.
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Marketing sportif : L’OM remporte le trophée Sporsora B2B

CORINNE GENSOLLEN, DIRECTEUR DES OPERATIONS MARKETING ET COMMERCIALES DE L'OM.
L’OM a remporté le prix de la meilleure stratégie marketing B2B aux trophées Sporsora, ce lundi au théâtre Mogador à Paris. Devant un jury prestigieux qui comptait notamment des athlètes comme Virginie Dedieu, Laurent Jalabert ou Yoann Diniz, l’OM a décroché le trophée devant des candidats comme IBM pour Roland Garros, Ideactif pour Peugeot et le rugby, SFR pour le SFR golf day ou Valeursport pour le club affaires du Stade Français.
Une belle récompense pour le travail de Corinne Gensollen et de toute l’équipe marketing de l’Olympique de Marseille. Les Trophées Sporsora du Marketing Sportif Sporsora récompensent les campagnes de marketing sportif les plus professionnelles, complètes, transversales, innovantes.
L’OM a été récompensé aux Trophées Sporsora du Marketing Sportif pour sa politique de marketing Business to Business. Quelle est votre réaction en tant que Directeur des opérations Marketing et commerciales du Club ?
Je suis très fière pour l’OM et pour son équipe marketing et commerciale en particulier, qui travaille au quotidien au service du Club pour promouvoir et valoriser la marque OM auprès des annonceurs Français. Ce Trophée récompense les dispositifs marketing B to B mis en place pour nos partenaires (OM Business Club et OM Entreprendre) pour qu’ils puissent tirer le maximum de retombées positives de leur partenariat avec l’Olympique de Marseille, qu’ils soient basés en région PACA ou partout en France.
Pouvez-vous nous en dire un peu plus sur OM Business Club et sur OM Entreprendre ?
OM Business Club, c’est le Club Entreprises de l’OM. C’est un programme événementiel et de communication spécifique qui permet à l’ensemble des partenaires de l’OM de se retrouver régulièrement autour d’événements sportifs, festifs, ou de petits-déjeuners débats avec les dirigeants, mais aussi de promouvoir leur entreprises au travers du réseau Olympien.
L’OM est une véritable plateforme de communication globale, capable de nourrir des marques associées et de créer de la proximité avec les consommateurs. L’OM est un accélérateur de notoriété très efficace, et un créateur de trafic pour ses partenaires. Etre associé avec l’Olympique de Marseille permet de fédérer ses clients, de transcender ses collaborateurs, de stimuler ses partenaires mais aussi de « réchauffer » sa marque.
OM Entreprendre est un programme déployé à Paris par les équipes marketing de l’OM pour faire découvrir le « vrai visage » du Club aux annonceurs français et internationaux. En effet, l’Olympique de Marseille est une grande marque : c’est le Club préféré des Français, ce sont 10 millions de sympathisants déclarés, mais aussi le plus beau palmarès du football français.
L’OM est une marque singulière par son ADN : l’OM, c’est l’excès, la rébellion ; l’OM incarne une certaine forme d’insolence ; l’OM ne laisse personne indifférent. l’OM c’est un capital émotionnel hors du commun capable d’attirer les plus grandes marques , les plus grands partenaires, le plus grand nombre de supporters.
Car être Olympien, c’est partager les valeurs de la communauté OM : l’indépendance, la rébellion, la mixité sociale et ethnique, la fierté d’être différent.
Quelles conséquences va avoir ce Trophée sur le travail de vos équipes ?
Ce trophée permet au Club de démontrer à nouveau la puissance de la marque OM, véritable capteur d’audience et catalyseur d’énergie. Depuis toujours, l’OM puise sa force et son identité dans la diversité de ses supporters et de ses partenaires. Alors, nous allons continuer à travailler pour élargir la tribu OM, pour alimenter encore et toujours la flamme et la passion Olympienne.
Source : om.net
Marketing Sportif : Etude de la stratégie marketing du PSG
Quant à la gamme féminine, certes elle existe, mais elle est peu développée, ce qui montre un certain désintérêt pour les supportrices. C’est limite à se demander si le PSG ne cherche pas juste à fidéliser une clientèle masculine… Pourtant, une partie non négligeable des supportrices est prête à acquérir des produits dérivés, mais il ne faut pas que ceux qui leur sont destinés soient aussi ridicules qu’actuellement.
Le géomarketing, ses véritables champs d’action.

Un article intéressant publié le Vendredi 08 Mai 2009, à lire ici.
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dimanche 3 mai 2009
Les impasses du marketing "censitaire"
http://kouamouo.ivoire-blog.com/archive/2009/04/21/les-impasses-du-marketing-censitaire.html
Bonne lecture !
Un petit cours de Marketing
1) les besoins / les désirs
2) les produits
3) la valeur
4) les échanges
5) les relations
6) le marché
7) le marketing
1. Les besoins / les désirs
Besoin : un manque
Désir : moyen de satisfaire un besoin
– besoins : nombre limité
– désirs : infini
---> le mktg crée t’il des besoins ?
Ex : Mercedes / satisfait besoin d’estime.
2. Les produits
support du besoin, c'est le produit qui sera désiré.
3. La valeur/ les coûts / la satisfaction
valeur = capacité d’un produit à satisfaire un besoin
4. Les échanges
Echanges : transactions / valeurs (délivrée / perçue)
5. Les relations
Les échanges engendrent la relation au fil du temps
6. Le marché
Ensembles de clients désireux et capables (ayant le pouvoir d'achat) => demande
7. Le Marketing
– produire ce qu’on vendra et non vendre ce qu ’on produit
Pour Peter Drucker : « le but du marketing est de rendre la vente superflue ».
L'optique marketing :
– déterminer les besoins du marché (ensemble de clients)
– et produire les valeurs demandées de façon rentable
– c a d de façon plus efficace que la concurrence
Les conditions de l'optique marketing :
1) un choix de marché (ensemble de clients désireux et capables) => Concept produit, Segmentation
2) un centrage sur le client => Ciblage, Positionnement
« vous en avez rêvé, Sony l’a fait »
3) un marketing coordonné au sein même de l'entreprise d'abord ! :
le marketing n'est pas l'affaire du département marketing à lui seul.
4) la rentabilité : qui ne provient plus du volume de ventes faites (C A), mais de la satisfaction client qui induit le profit (marge).
CHERIF ABDOUL AZIZ
Le Marketing expliqué à ma Mère .
Des articles assez intéressants sur : http://www.terra-economica.info/-Le-Marketing-explique-a-ma-Mere-.html
Bonne lecture !
QU’EST-CE QUE LE MARKETING ?
--> Jusqu’à la fin du 19ème siècle :
Marketing = accessoire
Ingénieur et financier = acteurs principaux
Recherche : maximiser la production
--> A partir du 20ème siècle :
Vente devient primordiale
Commercial = acteur principal
Recherche : le consommateur (ressource rare)
--> Aujourd’hui :
Marketing = élément clef de la vente
Commercial et Resp. Marketing = acteur principaux
Recherche : donner envie au consommateur
« Hier les entreprises devaient trouver les clients pour leurs produits, maintenant ils doivent trouver des produits pour leurs clients »
La suite ici : http://fsmarketing.free.fr/cours_MSG/Cours1.pdf
LE MARKETING RELATIONNEL : Le CRM dans les PME au Sénégal
POUR L’OBTENTION DU DIPLÔME SUPÉRIEUR DE GESTION SPÉCIALITÉ : MARKETING-COMMUNICATION A L'ISM.
Ce texte est publié par http://visionarymarketing.com.
Sujet spécifique : UN CENTRE DE CONTACT COMME OUTIL DE GESTION
DE LA RELATION CLIENT POUR LES PETITES ET MOYENNES
ENTREPRISES / TRÈS PETITES ENTREPRISES : L’EXEMPLE DE
SECLINK SARL.
ANNÉE DE SOUTENANCE: 2005
Ce texte est publié par http://visionarymarketing.com.
L'intégralité du mémoire : http://visionarymarketing.com/_repository/youssouthioye/crmdespme-afrique.pdf
Ce texte est publié par http://visionarymarketing.com.
Marketing de la distribution : Le trade marketing
http://www.manager-go.com/trade-marketing.htm
Marketing de la distribution : Gestion des linéaires, le merchandising un outil de promotion pour le marketing de la distribution.
http://www.manager-go.com/merchandising.htm
Distribution : Logistique de la grande distribution
Chapitre 2. Logistique de la grande distribution
http://www.cyber.uhp-nancy.fr/demos/LOGI-004/chap_2/index.html
Marketing de la distribution : Marque de distributeur
http://www.manager-go.com/marque-de-distributeur.htm
Marketing de la distribution : LA CLARIFICATION DES ASSORTIMENTS : LE MERCHANDISING DE GESTION
LA CLARIFICATION DES ASSORTIMENTS : UNE CHIMERE ? LA REPONSE DU MERCHANDISING DE GESTION
Toutes les décisions relatives à la construction d'un assortiment doivent découler des actes du consommateur acheteur, le juge de paix en la matière, qui sanctionne ou avalise les choix de référencement des "référenceurs" des centrales, et des industriels prolifiques en matière d'innovations.
Par Nicolas Salin, Expert en Merchandising, sur visionarymarketing.com.
http://visionarymarketing.com/articles/merchandising-salin.html
Le Marketing n’a pas pour vocation d’inventer des idées, sa mission est de les identifier …
Une démarche Marketing, ne sous entend pas la non-production d’idées créatives en interne, toutefois celle-ci doit s’interdire, autant que faire se peut, de cautionner ou de bâtir une stratégie élaborée à partir d’une idée qui n’aurait pas préalablement été identifiée, ne serait-ce que partiellement, ou tout au moins validée formellement au moyen d’une approche qualitative ou quantitative.
Une idée issue de l’analyse objective de données émanant d’un échantillon techniquement bien sélectionné a toutes les chances de répondre de façon réaliste aux attentes d’une typologie de clients potentiels dans un premier temps (précurseurs), et dans un second temps de s’adresser au plus grand nombre (suiveurs).
En revanche une idée, aussi pertinente soit-elle en théorie, née de la réflexion d’un seul homme ou résultant d’un transfert technologique voire d’une invention technique pourra ne pas trouver sa place sur le marché, dans la mesure où le concept correspondant ne répondra pas forcément à un besoin, ou hypothèse plus pernicieuse, où la finalité de ce dernier ne sera pas comprise de ses destinataires potentiels.
En fait, l’expérience prouve que le risque le moins maîtrisable existe lorsque le Marketing se pique d’émettre des idées qui ne résultent pas des techniques qui constituent sa raison d’être et sa force au sein des entreprises, à savoir la saisie et l’analyse en profondeur de données issues du terrain en vue de formuler des recommandations pratiques pouvant conduire à des concepts et idéalement à des idées.
Par Groupe Marketing Consultants / décembre 2008 /
Marketing.social-bookmark.me : Partager l’information

Tel est le concept de Marketing.social-bookmark.me un nouveau service de veille sur Internet.
Bookmarker une information marketing
Marketing.social-bookmark.me permet de bookmarker directement à partir de son navigateur internet la page d’information. Cette information marketing peut être un article de presse, une note sur un blog, une présentation powerpoint, une photo.
Une fois la page enregistrée les membres de Marketing.social-bookmark.me indiquent alors une courte note afin de décrire les éléments substanciels de l’information marketing.
Marketing.social-bookmark.me créé par Richard Menneveux
« Avec les medias sociaux, l’abondance et la multiplication des sources d’informations rendait ma veille de plus en plus difficile. C’est ainsi qu’est née l’idée de Marketing.social-bookmark.me : partager avec mes contacts professionnels du marketing la quintescence de l’info, quelque qu’elle soit, qu’il s’agisse d’une présentation, une note sur un blog ou un article. »
A Propos de ADSVARK
Créé en juin 2008, ADSVARK propose des services dans les medias sociaux. Nous éditons des communautés professionnelles dans le domaine de l’Internet (FrenchWeb.org) ou encore du recrutement (LejournaldesRH.com), et conseillons des entreprises dans leur appréhension des médias et réseaux sociaux.
Contact Presse
Richard Menneveux
Email : richard.menneveux@adsvark.com
Téléphone : 06 64 38 46 40
La vérité sur les mensonges du marketing vert.
Pour cause. 98 % de ces produits portent une tare bien de notre temps: ils pratiquent le lavage vert -- greenwashing, comme disent les esprits critiques vivant de l'autre côté de la rivière des Outaouais. Le lava quoi ? Lavage vert, ou l'art de se montrer socialement et écologiquement responsable, même si ce n'est pas totalement vrai.
Sceptique? Pas convaincu? C'est pourtant l'organisme TerraChoice Environmental Marketing qui se charge une fois de plus de cette douloureuse dénonciation. Depuis 2007, ce groupe de consultants passe au crible, annuellement, le monde de la marchandisation de l'écologisme afin d'en décoder les bonnes mais aussi les mauvaises pratiques, qui, avec 98 % -- ça, c'est 100 % moins 2 -- semblent assez généralisées, merci.
Entre novembre et janvier dernier, les limiers de TerraChoice ont analysé un peu plus de 2200 produits verts dits de consommation courante vendus dans les magasins d'ici et des États-Unis. En substance, ils ont mis la main dans les couches-culottes (propres!), le dentifrice, les crèmes pour le corps, les jouets, les produits d'entretien, les fournitures de bureau ou encore les matériaux de construction. Entre autres.
Ces produits étaient porteurs d'espoir et de bonne conscience pour leur clientèle cible, mais surtout d'environ 5000 allégations à saveur écolo, indique le rapport intitulé Les sept pêchés du lavage vert/Allégations environnementales sur les marchés de la consommation, que le groupe vient tout juste de rendre public.
Et malheureusement, la quasi-totalité de ces prétentions n'a pas résisté au jeu de la vérification des faits. Les règles n'étaient pourtant pas très sévères. TerraChoice s'est basé sur la norme ISO 14021 en matière d'étiquetage environnemental et s'est fié aussi aux lignes de conduite que se sont données la US Federal Trade Commission, le Bureau de la concurrence du Canada et l'Australian Competition & Consumer Commission.
Pis, le groupe qui avait défini par le passé six péchés de lavage vert, soit six bonnes manières de bien tromper ses clients en leur faisant prendre des vessies pour des lanternes vertes, vient, au regard de cette enquête annuelle, d'en ajouter un septième: le «péché d'adoration de la fausse étiquette». Répandu chez plusieurs distributeurs canadiens, souligne TerraChoice, le stratagème consiste à apposer sur un produit un logo qui s'inspire fortement et/ou grossièrement de ceux émis par de véritables organismes de certification du développement durable.
Bien sûr, ce logo ne veut rien dire, ne s'appuie sur aucun système de contrôle et brille simplement sur l'emballage dans le but de duper les consommateurs. Un quart des produits analysés commettait cette offense divine dans les temples de la consommation, indique le rapport. Sombre époque.
Les autres produits, eux, n'étaient pas en reste puisqu'ils ont fait vibrer, en 2008, au moins une des six cordes des autres péchés du marketing vert tels que définis par l'organisme. En tête de liste, le «péché du compromis caché» qui consiste à mettre de l'avant les bienfaits écologiques d'un produit pour mieux occulter un ou des effets pervers du même produit sur l'environnement. Un papier issu d'une forêt gérée dans une optique de développement durable reste un papier pour lequel il faut couper des arbres.
Le péché d'absence de preuve arrive ensuite. Tout ce qui prétend «combattre le réchauffement climatique» entre certainement dans cette catégorie. Idem pour les produits qui prétendent contenir des matériaux post-consommation recyclés, sans toutefois fournir trop de détails sur cette contenance, ont constaté les enquêteurs de TerraChoice. Pour vendre le vert, «l'imprécision» est aussi une arme redoutable -- et le troisième péché en importance : le concept du «tout naturel» que l'on croise souvent sur les étiquettes en est une belle illustration. Surtout quand on se souvient que l'arsenic, l'uranium, le mercure ou encore le formaldéhyde sont des substances naturelles extrêmement dangereuses pour la santé.
Vient ensuite l'offense de la non-pertinence, commise lorsqu'on souligne dans un produit l'absence d'une substance dont l'usage est de toute façon interdit par la loi à la grandeur du pays. C'est le cas par exemple des chlorofluorocarbures (CFC). Le «péché du moindre des deux maux» a aussi ses adeptes et consiste à donner du lustre vert à un produit qui, malheureusement, ne pourra jamais en avoir. Il est question ici de cigarettes biologiques, ou encore de véhicules utilitaires sport (VUS) qui prétendent être recyclables à 95 % après 15 années de production de gaz à effet de serre sur les routes.
Enfin, moins répandu mais tout de même présent, le «péché de fabulation» complète cette longue liste de la duperies. Particulièrement vicieux, il se matérialise sur des produits qui se disent biologiques sans avoir de certification officielle ou encore qui disent se conformer à la norme Energy Star, sans preuve. Il prouve aussi, avec la ribambelle d'autres insultes à l'intelligence des consommateurs, que si le marché des produits verts estrie verte continue de bien se porter, merci. Et, quoi qu'en disent les marchands de rêves et autres exploiteurs de tendances, ce n'est certainement pas la planète qui va le plus en profiter.
Fabien Deglise Édition du samedi 25 et du dimanche 26 avril 2009
http://www.ledevoir.com/2009/04/25/247409.html
Une réaction :
Le premier mensonge, c'est le prix
Le premier mensonge, c'est le prix des produits. Mon chocolat "équitable'' m'est offert à $3.99, mais je le paie $4.50 avec la taxe. Je suis supposé croire que très loin de moi où je ne puis rien vérifier, il y a des organismes bienveillants qui s'assurent que le producteur reçoit une rémunération équitable, même si le vendeur en face de moi n'a même pas l'honnêteté de m'informer du vrai prix que je vais payer dans deux minutes.
C'est particulier au Canada, et ça conditionne dès l'enfance aux mensonges grossiers qui sont "indispensables pour faire rouler l'économie''. Alors bien sûr on achète sans sourciller le miel "Canada #1'' qui contient 50% de miel argentin, et tous les produits qui doivent bien être verts puisque le producteur le dit.
Et en plus on paie un bras et une jambe pour un programme d'arithmétique qui dans nos écoles est aussi pertinent qu'un programme de musique dans une école de sourds, puisque tous les chiffres qu'on voit dans la vraie vie ne sont que des mensonges.
CFAO est le leader de la distribution spécialisée en Afrique et dans les collectivités d'Outre Mer.
Youphil.com : un nouveau média 100% internet ouvert sur l’Afrique.

Lire l'interview ici : http://www.afrik.com/article16679.html
Vendredi 1er mai 2009, par Martial Pabandji sur Afrik.com.
samedi 2 mai 2009
Les étapes vers la compétitivité
Industrie Canada est en voie de transférer la responsabilité du contenu de ce site Web à Entreprises Canada, un service d’information du gouvernement s’adressant aux entreprises et aux nouveaux entrepreneurs au Canada.
Le site Web Étapes vers la compétitivité ne sera plus disponible à compter du 29 mai 2009. Une version archivée du site Web sera disponible à des fins historiques dans les Archives du Web du gouvernement du Canada que tient à jour Bibliothèque et Archives Canada.
Vous pouvez accéder au site Web d’Entreprises Canada en cliquant sur le lien suivant : www.canadabusiness.ca/gol/cbec/site.nsf/fr/index.html
Si vous avez des questions, Contactez-nous.
Le Marketing sur Wikipedia
Il comporte un ensemble de méthodes et de moyens dont dispose une organisation pour s'adapter aux publics auxquels elle s'intéresse, leur offrir des satisfactions si possible répétitives et durables.
Il suscite donc par son aspect créatif des innovations sources de croissance pour l'entreprise.
Lire la suite ici : http://fr.wikipedia.org/wiki/Marketing
Le marketing selon Kotler, comment créer, conquérir et dominer un marché
En tant qu'étudiant en troisième année à l'université Hassan II Ain chock en économies et gestion, la réalisation d'un mémoire est nécessaire. D'abord en tant qu'obligation, et aussi comme une orientation ou une image sur ce que vous allez faire dans ce qui suit de votre parcours d'étude.
Après avoir hésité sur plusieurs sujets, ma décision a été fixée sur le thème du marketing. Un thème que j'ai choisi non pas contraint, mais plutôt par intérêt.
Dès la première fois, j'ai constaté que le marketing était un carrefour pour d'autres disciplines, il s'inspire de l'économie politique, des sciences sociales (comportement du client), du management, utilise les méthodes statistiques et mathématiques (étude de marché, collecte d'information...) ainsi que sa liaison directe avec les technologies de pointe et d'information qui contribuent d'une manière impressionnante dans son développement.
A savoir aussi que les théories marketing sont valables partout aussi bien pour les établissements publics que privés. Donc on doit reconnaitre que le succès de la majorité des entreprises aujourd'hui repose en grande partie sur le marketing.
Je n'ai pas cherché mille chemins pour la recherche d'un ouvrage, je me suis automatiquement mis dans la tête le choix des ouvres d'un grand professeur et auteur de plusieurs livres considérés dans leurs majorités comme références pour toute personne intéressé par cette discipline, il s'agit de Mr. Philip Kotler.
J'ai choisit comme ouvrage « Le Marketing selon Kotler » qui se présente comme suit :
Plan :
§ Remerciements :
§ Avant propos :
§ Introduction :
Première partie : le marketing stratégique
1) Rentabiliser grâce à un marketing d'exception :
2) Comprendre, créer, communiquer et délivrer de la valeur :
3) Identifier les opportunités et élaborer une offre ciblée de valeur :
4) Elaboré la proposition de valeur et construire le capital-marque :
Deuxième partie : le marketing tactique
5) Comprendre et utiliser l'intelligence du marché :
6) Formuler le mix marketing :
7) Acquérir, conserver et développer la clientèle :
8) Concevoir et délivrer plus de valeur aux clients :
Troisième partie : le marketing administratif
9) Mettre en place une planification et une organisation efficaces :
10) Evaluer et contrôler le marketing :
Quatrième partie : le marketing évolutif
11) S'adapter a l'ère nouvelle du marketing électronique:
§ Conclusion :
Présentation de l'auteur :

Né le 27 mai 1931 à Chicago. Dr Philip Kotler est distingué comme professeur par fils de la commercialisation au plan international à l'école graduée de Kellogg d'université du nord-ouest de la région de Chicago, dont la philosophie repose sur l'application du processus triptyque Segmentation/Ciblage/Positionnement.
On lui doit également la formalisation du mix marketing (les éléments essentiels dans la confrontation d'une offre marketing à un marché) en quatre "P" : Product, Price, Place & Promotion c'est-à-dire Produit, Prix, Distribution & Communication. On peut y ajouter une cinquième variable se rapprochant de la distribution : la force de vente.
Voici en quelques lignes l'essentiel du parcours du professeur Philip Kotler :
- Il a reçu un master à l'Université de Chicago et un doctorat à la MIT, tous deux en sciences économiques. Il a fait des recherches post doctorales en mathématiques à l'Université d'Harvard et en sciences du comportement à l'Université de Chicago.
- Le professor Kotler est. l'auteur d'une vingtaine d'ouvrages dont : « Marketing Management : Analysis, Planning, Implementation and Control » ; « Principles of Marketing » ; « Marketing models » ; « Strategic Marketing for Non - Profit Organisations » ; « Social Marketing » ; « The marketing of Nations » ; « Marketing of Hospitali» ; «Strategic Marketing for Educational Institutionsucoup ont obtenu le prix de «meilleur article».
- Membre du bureau des administrateurs de la « school of the Art institute » de Chicago et du comité consultatif de la fondation Peter Drucker.
- Le professeur Kotler est aussi consultant au sein de grandes entreprises comme IBM, General Electric, AT&T, Honeywell, Bank of America, Merck et bien d'autres dans les domaines de marketing stratégique, de marketing des organisations ou de marketing international.
- Il a été le premier professeur à recevoir le prix « Distinguished Marketing Educator Award » de l'association américaine de marketing (A.M.A) en 1985.
- Il a été choisi comme étant « Leader dans la Pensée Marketing » par les membres académiques de l'A.M.A dans une étude de 1975.
- Le professeur Kotler a aussi reçu en 1978 le prix « Paul Converse Award » de l'A.M.A en honneur à sa contribution à la discipline Marketing.
- En 1995, « The Sales and Marketing Executive International » (SMEI) l'a nommé homme marketing de l'année.
- En 2002, il a reçu le prix « Marketing educator of the Year » de « The Academy of Marketing Science »
- Le professeur Kotler a aussi reçu les doctorats honorifiques de l'université de Stockholm, de l'université de Zurich, de l'université d'économie et d'affaires d'Athènes, du groupe HEC de Paris, de l'université d'économie de Vienne, de l'université d'économie de Budapest et de l'université catholique de Santo Domingo.
Il a consulté beaucoup d'États et compagnies étrangères - comprenant IBM, Michelin, banque de l'Amérique, le Merck, la General Electric, le Honeywell, et le Motorola - dans les secteurs de la stratégie et la planification de vente, l'organisation de vente, et la commercialisation au plan international.
Il présente aussi des conférences continues sur de principaux concepts et développements de vente aux compagnies et des organismes aux États-Unis, l'Europe et l'Asie.
Introduction :
A l'origine du comportement de tout individu se trouve le besoin, il s'agit d'une exigence née de la nature ou de la vie sociale (se nourrir, se vêtir, ressentir des émotions...), ensuite vient le désir, qui porte sur le moyen de satisfaire le besoin, si les besoins sont limités, les désirs sont par contre infinis et en perpétuelle évolution. Le marketing vient pour influencer ces désirs de sorte que l'envie pour un produit se traduit par une demande.
Avant l'ère du marketing, l'orientation de l'entreprise se basait sur la logique de la production, la maximisation du profit et la minimisation des coûts, une époque où les fournisseurs étaient rois, la demande était nettement supérieur à l'offre, l'écoulement des produits était assuré, il suffisait seulement de produire. Le marché était caractérisé par une pénurie de biens, l'entreprise se contentait de produire sans prendre en9tait caractérisé par une pénurie de biens, l'entreprise se contentait de produire sans prendre enconnue le 20ème siècle a été le point de départ de tous ces bouleversements, des transformations très importantes dans les attitudes et les comportements d'achat des gens nécessitant aussi des changements auprès des entreprises.
L'offre devient supérieure à la demande, il va falloir se battre contre une concurrence de plus en plus acharnée qualitativement et quantitativement.
Le consommateur va retrouver devant l'embarras du grand choix que va lui offrir le marché, donc on est passé à une époque où le client est roi.
Les entreprises ont compris qu'il faut se placer du coté du consommateur, solliciter ses avis pour connaitre exactement ce qu'il veut, le département vente se s'est transformer en département marketing qui s'occupe en plus de la vente, des études de marché, le ciblage, le choix de produits, la fixation des prix, la communication, la distribution et d'autres fonctions.
Avec ces mouvements, Les produits sont de plus en plus différenciés, le cycle de vie d'un produit est devenu plus court, les prix sont tirés vers le bas, les coûts ont augmenté et les marges se sont rétrécies.
Ces changements ont rendue insuffisant l'application des anciennes conceptions du marketing centré sur la vente.
Les entreprises se trouvent de plus en plus dépendantes à des variables qui manipulent tout leurs fonctionnements et leurs prises de décisions, tels : l'environnement géographique, technique, économique, sociologique, psychologique, politique, légal...etc. donc, les entreprises ne peuvent que subir (disparaitre), gérer (gestion de marché, politique de suiveur), ou anticiper (politique de leader, elle fait le marché).
Dans cet environnement incertain et instable seul les entreprises en veille permanent et en ouverture total sur ce qui se passe autour d'elles sont capables de surmonter la voracité de la concurrence.
L'évolution des exigences des consommateurs a fait naissance d'un marketing individualisé, visant à délivrer plus de valeurs à ses clients, faisant des relations très étroites avec eux, suivant leurs comportements, essayant d'adapter leur offre à eux et veillant à les satisfaire pour les fidéliser à vie.
Ce nouveau marketing se fonde de plus en plus sur la maitrise de l'information et l'innovation. Les entreprises sont toujours à la recherche d'opportunité à leurs créations, ils adoptent de novelles méthodes de travail tels que : la vente par téléphone, par internet, téléachat, e-commerce, e-mailing...etc.
Dans ce résumé, On va aborder un ensemble de chapitres qui présente le passage d'un marketing dit préhistorique à une nouvelle forme de marketing basé sur des techniques qui visent à aider les entreprises à délivrer une offre qui correspond parfaitement aux attentes des clients et qui s'adapte en permanence avec leurs exigences, une offre très personnalisé qui consiste une concentration d'effort sur des cibles très petites (niches) et qui ne cessent pas de se réduire au fur et à mesure.
L'importance de la planification et du control dans la concrétisation de la stratégie, de sa réactivité et de sa flexibilité.
On va clôturer par un chapitre qui parle de l'impact du développement technologique sur le marketing, les changements et les conséquences qui ont marqué cette révolution digitale et quelques principeg, les changements et les conséquences qui ont marqué cette révolution digitale et quelques principeg, les changem que tous le monde ne peut pas les voir, seul les plus vigilants, les plus performants et les plus expérimentés sauront les détecter, et donc ceux qui vont les exploiter créeront des avantages comparatifs par rapport aux autres.
Plan :
Présentation de l'auteur :
Introduction :
Première partie : LE MARKETING STRATEGIQUE
1) Rentabiliser grâce à un marketing d'exception :
2) comprendre, créer, communiquer et délivrer la valeur :
3) Identifier les opportunités et élaborer une offre ciblée de valeur :
4) Elaborer la proposition de valeur et construire le capital-marque :
Deuxième partie : Le marketing tactique
1) Comprendre et utiliser l'intelligence du marché :
2) Formuler le mix marketing :
3) Acquérir, conserver et développer la clientèle
4) concevoir et délivrer plus de valeur au client :
Troisième partie : LE MARKETING ADMINISTRATIF
1) Mettre en place une planification et une organisation efficace en marketing:
2) évaluer et contrôler le marketing :
Quatrième partie : LE MARKETING EVOLUTIF
1) s'adapter à l'ère nouvelle du marketing électronique
Conclusion :
Lire la suite du mémoire ici : http://www.memoireonline.com/01/08/860/le-marketing-selon-kotler-creer-conquerir-dominer-marche.html
En attendant voici la conclusion ...
Conclusion :
Avec tous les changements qui ont marqué le 21 siècle, l'environnement économique est devenue très sensible même à de petite particularité qui n'avait même pas d'existence dans les quelques années passées.
L'évolution du comportement d'achat des clients a été suivie d'une évolution très importantes des entreprises, ces derniers se sont éloigner des méthodes traditionnelles d'organisation pour les substituer par les nouvelles techniques de travaille basé sur l'automatisation, la robotisation et les nouvelles technologies d'information.
L'entreprise a abandonné l'optique transactionnelle au profit d'une optique relationnel, cette nouvelle conception privilégie le client en le mettant au sommet de la hiérarchie de ses objectifs. Toutes les décisions gravitent autour du client, (lancement d'un produit, l'amélioration des services, augmentation des prix...).
Aujourd'hui presque la plupart des entreprises se sont orienté client.
On est donc passé à une nouvelle génération de marketing appelé « le marketing relationnel » qui est fondé sur la fidélisation à vie « Life time value » (espérance de gain sur la vie sur la vie total probable du consommateur), sur les caractéristiques socioculturelles et sur les spécificités individuelles de chaque client.
C'est une optique à long terme qui se base sur la confiance, la coopération, la personnt.
C'est une optique à long terme qui se base sur la confiance, la coopération, la personnalisation le partenariat, les bases dr un avantage concurrentiel aux entités qui savent l'utiliser, c'est ce constat qui explique pourquoi les entreprises se précipitent à mettre en place des systèmes de collecte et de traitement de données toujours plus performant.
Une centralisation de celle-ci fournira aux différents départements de l'entreprise une source inépuisable d'opportunités, leurs bonnes exploitations permettront à l'entreprise d'affronter et de bien se situer dans un environnement incertain où la concurrence est féroce, seul les grandes entreprises innovatrices peuvent survivre.
Pour moi, la maîtrise de la technologie électronique et d'infirmation (Internet, mailing, téléachat...), la gestion de relations clients (CMR : Consumer Manager Relationship), la maîtrise du marketing individualisé, le commerce électronique, la sous-traitance, le ciblage, la planification à long terme et le contrôle (tableaux de bords et l'audit) avec une bonne motivation d'un personnelle bien formé sont les clés de la réussite de l'entreprise.
Par Ahmed Fellah - Université Hassan II, Aïn chock - Licence en economie et gestion.
Source : memoireonline.com