samedi 7 février 2009

La société de consommation est morte ! (un avis pertinent sur l'article précédent)

C’est certes une vision très juste et une analyse pertinente … mais ne peux-on pas voir, à l’instar de la crise de 29, un mouvement crée artificiellement par un groupe hégémonique en mal d’élargissement de leur pouvoir ?

La crise de 29 a été en grande partie orchestrée par un consortium de grandes banques qui voulaient voir réduire le nombre d’acteur de ce secteur et ont donc artificiellement secoué les marché en s’assurant préalablement d’avoir verrouillé certaines sécurité.

Au final, la crise de 29 a énormément profité à un ensemble très réduit de banques qui ont pu racheter à très faible couts de nombreuses structures qui n’avaient pas les reins assez solides pour supporter ce tremblement.

Ce regroupement a commencé à donner énormément de pouvoir aux “survivants” et ont crée un dépendance encore plus forte de l’État envers elles.

Ces dernières années on a vu apparaitre sur les marchés financiers de très nombreux acteurs … peut-être qu’à nouveau un groupement hégémonique a voulu élargir ce principe qui a très bien marché aux USA en 29 mais appliqué maintenant à un marché mondial.

C’est une logique assez efficace, si on sors de la notion de scrupules à plonger de très grands pans de la population dans une situation désastreuse. Car si on regarde un peu au-delà de ce que nous présentent les médias, que va-t-il ressortir de cette crise au final ?

les plus faibles vont céder leurs marchés aux plus forts et ces derniers vont encore une fois pouvoir élargir leur infiltration…

Ce genre de d’hypothèse sont un peu trop souvent vue comme étant conspirationiste … mais au final, on constate que le nombre de personne ultra-fortunée n’as pas cessé d’augmenter de manière presque inquiétante .. car en effet, pour pouvoir “entretenir” ces richesses, ces hommes doivent avoir à leur disposition un cheptel humain immense.

Je crois pour ma part que nous nous dirigeons vers la fin du “rêve américain” où on a fait croire, par la société de consommation et le markéting justement, que tout le monde pouvait accéder à un niveau de vie et de confort réservé jusque là à une élite.

Mais finalement on sors de cette hypocrisie et on nous remet à notre place de bétail ouvrageant pour le confort péren de nos riches hommes de pouvoir…

Les défis humanistes et écologistes étant relégué ( par la politique marketing ) à une illusion de fausse actions menées en grande fanfaronnades qui sont à mille lieu de la necessité réelle d’action.