mardi 20 octobre 2009

Wellcom : Lancement du Livre Blanc « Le Marketing comportemental » par Laure Gaillard

Un ouvrage réalisé par l’EBG, en partenariat avec Acxiom, Orange Advertising Network, SAS France et Wunderloop

Conscients de l’évolution des technologies et du pouvoir qu’elles confèrent aux marques, les consommateurs sont de plus en plus exigeants. Les annonceurs quant à eux sont à la recherche d’une plus grande efficacité. En permettant d’identifier et idéalement d’anticiper les besoins, en analysant les réactions, le marketing comportemental contribue à recentrer l’annonceur sur les attentes du client et l’aide à orienter son discours sur des cibles en affinité.

Ainsi l’annonceur concentre et maîtrise mieux ses investissements, et les consommateurs trouvent plus de sens dans la communication ou la publicité qui leur sont adressées.Pour témoigner de ces tendances de fond qui influencent les entreprises dans leurs choix marketing, des spécialistes - Acxiom, Orange Advertising Network, SAS France et Wunderloop - se sont associés à l’EBG pour la réalisation d’un Livre Blanc publié le 14 octobre.

Objectif : présenter l’état de l’art du marketing comportemental et mettre à disposition des directions marketing qui souhaitent intégrer cette dimension dans leur stratégie, les expériences concrètes de 30 annonceurs interviewés sur le sujet, complétées par les éclairages ponctuels de chaque partenaire.

Dans un contexte fortement concurrentiel, l’alignement sur les attentes des consommateurs est indispensable à la réussite d’une campagne marketing. Il est donc impératif de revenir aux fondamentaux du marketing en repositionnant le consommateur au centre de toute stratégie.

Fondé sur l’analyse des comportements passés et présents des consommateurs, le marketing comportemental permet d’identifier les centres d’intérêt, les attitudes, le style de vie, le statut d’une personne pour adresser le bon message, au bon moment, à la bonne personne.

Grâce au ciblage, à la personnalisation des messages et l’amélioration de la connaissance de leurs cibles, les annonceurs optimisent ainsi l’expérience client. Parallèlement, le marketing comportemental permet une rationalisation des coûts par la maîtrise des retours sur investissements qui peuvent être calculés au fil de l’eau, mais également par la concentration des budgets sur des cibles à potentiel et des opérations à plus grande valeur ajoutée.

Si le mass media marketing montre aujourd’hui ses limites, le marketing comportemental n’a plus à démontrer son efficacité, et est promis en France à un fort développement.

Ce Livre Blanc présente les principaux champs d’activité investis aujourd’hui par le marketing comportemental :
- la communication comportementale, c’est-à-dire le ciblage et la personnalisation d’une communication de marque selon les comportements des clients et prospects ;
- la publicité comportementale, à savoir le ciblage et la personnalisation d’une publicité diffusée selon le comportement des utilisateurs d’un réseau (internet, TV interactive, téléphonie mobile, puces RFID, …).

Au travers d’avis d’experts et de témoignages d’annonceurs tels que Fnac.com Groupe Beaumanoir, Plantes et Jardins, Priceminister…, cet ouvrage met en exergue l’impact du marketing comportemental tant pour l’annonceur que pour le consommateur, dans une démarche gagnante pour les deux parties et ce, dans un cadre juridique structuré.

Pour télécharger cet ouvrage : http://www.ebg.net/librairie/livres-blancs/Le_marketing_comportemental.php

Pour tout complément d’informations, merci de prendre contact avec l’Agence Wellcom au 01 46 34 60 60 ou par mail : af@wellcom.fr

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Le Livre Blanc « Le marketing comportemental » a été réalisé par Laure Gaillard, consultante dans le domaine des nouvelles technologies. Ses champs d’intervention englobent le marketing, la relation client et le décisionnel. Elle est diplômée du Royal College of Art de Londres et de l’Ecole Nationale Supérieure d’Arts et Métiers de Paris.

A propos de l’EBG – Electronic Business Group :L’Electronic Business Group est un club d’affaire qui réunit plus de 500 des principales entreprises françaises et internationales. L’EBG organise des commissions pratiques privilégiant le partage d’expérience (mobilité, médias, marketing, business intelligence, télécommunications & SI, dématérialisation & facture électronique, achats, droits & RH) et des soirées de networking ouvertes aux dirigeants de l’industrie, des médias et du commerce. Plus d’informations : www.ebg.net

A propos d’Acxiom « Global Interactive Marketing Services » :

Acxiom France (100 collaborateurs), filiale d’Acxiom® Corporation, conseille et accompagne les entreprises dans la mise en œuvre et le pilotage de leurs campagnes marketing.

Objectifs : optimiser les investissements medias et augmenter les performances marketing. Pour ce faire, Acxiom s’appuie sur une solide expertise de la donnée consommateur et du ciblage marketing ainsi que sur des technologies d’intégration et de traitement des données qui garantissent la fiabilité et la pertinence de l’information, sur tous les canaux : digital, internet, e-mail, mobile, courrier, call center.

Plus d’informations : www.acxiom.fr

Acxiom® Corporation (NASDAQ : ACXM) est le leader mondial des solutions interactives de marketing services. Créé en 1969, à Little Rock dans l’Arkansas (USA), Acxiom accompagne des clients dans le monde entier via ses filiales aux Etats-Unis, en Europe et en Asie Pacifique.

Aujourd’hui, la société emploie plus de 7000 collaborateurs et réalise un chiffre d'affaires de 1.3 milliard de dollars. Plus d’informations : www.acxiom.com

A propos d’Orange :

Orange est la marque phare de France Télécom, un des principaux opérateurs de télécommunications dans le monde. Elle compte 124,5 millions de clients, pour l’internet, la télévision et le mobile dans la majorité des pays où le Groupe est présent.

En 2008, le Groupe a réalisé un chiffre d’affaires de 53,5 milliards d’euros (25,5 milliards d'euros au premier semestre 2009). Au 30 juin 2009, le Groupe comptait 186 millions de clients dans 32 pays, dont 125,5 millions de clients du mobile et 13,4 millions de clients ADSL dans le monde.

Orange est le troisième opérateur mobile, et le deuxième fournisseur d’accès internet ADSL en Europe et l’un des leaders mondiaux des services de télécommunications aux entreprises multinationales, sous la marque Orange Business Services.

La stratégie du Groupe est fondée sur la convergence et l’innovation. Elle se caractérise par la maîtrise des coûts et vise à faire d’Orange l’opérateur intégré de référence pour les services de télécommunications en Europe.

Aujourd’hui, le Groupe reste concentré sur son cœur de métier d’opérateur de réseau, tout en développant ses positions sur des nouvelles activités de croissance.

Afin de répondre aux attentes des clients, le Groupe s'efforce de fournir des produits et des services simples et conviviaux, grâce à son modèle de performance durable et responsable qui peut s’adapter aux conditions d'un éco-système en pleine mutation.

France Télécom (NYSE:FTE) est cotée sur Euronext Paris (compartiment A) et sur le New York Stock Exchange.Plus d’informations : www.orange.com

A propos de SAS :

SAS, leader mondial du décisionnel et des solutions de business analytics, est le plus important éditeur indépendant du marché du décisionnel. Grâce à des solutions innovantes reposant sur une infrastructure intégrée, SAS aide ses clients -sur plus de 45 000 sites dans le monde- à améliorer leur performance et à produire de la valeur en leur permettant de prendre rapidement de meilleures décisions. Depuis 1976, SAS donne à ses clients The Power to Know® - la puissance de savoir.

La filiale française, créée en 1983, emploie 290 collaborateurs et a déployé les solutions SAS sur près de 2 500 sites. Elle a réalisé un chiffre d’affaires de 77,28 millions d’euros en 2008.

Plus d’informations : www.sas.com/france

A propos de Wunderloop :

Leader européen des services de ciblage intégré, Wunderloop permet de cibler les internautes avec précision sur la base de caractéristiques socio-démographiques spécifiques : les applications 'Wunderloop custom' et 'Wunderloop connect' permettent notamment de recueillir les données sur le comportement des internautes.

Les méthodes d’analyse et de ciblage de Wunderloop sont accessibles à partir d’une plate-forme intégrée. À partir de cette plate-forme, les clients de wunderloop peuvent cibler les internautes en diffusant – au bon moment – le bon message publicitaire, des contenus pertinents et des offres-produits adaptées.

Le centre indépendant pour la protection de la vie privée du Land de Schleswig-Holstein (ULD) et TÜV Rhineland, l’autorité allemande chargée de veiller à la protection des données privées, ont validé la conformité réglementaire de la démarche suivie par wunderloop pour le traitement de ses données et informations.

De plus, wunderloop est la deuxième société européenne et la première société en France à obtenir la certification EuroPriSe pour la protection des données personnelles.

Fondée en 1999 par Ulrich Hegge et Frank Conrad, wunderloop est établie au Luxembourg et possède plusieurs bureaux en Europe. En Allemagne, le bureau principal de la société se trouve à Hambourg.

Plus d’informations : www.wunderloop.fr

Relations presse :

Agence Wellcom

Amandine Ferré / Claudia Meleghi / Ingrid ZémorTél : 01 46 34 60 60

Email : af@wellcom.fr/cm@wellcom.fr/iz@wellcom.fr

Acxiom France

Christelle PontautResponsable Marketing / CommunicationTél : 01 58 17 73 04

Email : Christelle.Pontaut@acxiom.com

Modèle de business plan

Les investisseurs financiers ne recherchent que des entreprises de croissance avec une équipe de gestion ambitieuse et équilibrée.
La rédaction d'un plan de développement ('business plan') correspond à un travail de fond nécessaire à la mise en place d'un projet d'entreprise.

Ce travail conséquent permet à l'entrepreneur de se poser un ensemble de questions sur tous les aspects de la création et du développement de son projet, et d'y apporter des éléments de réponse.

Le plan détaillé que vous retrouverez sur le site de afic.asso.fr, correspond à un modèle général qui doit bien évidemment être adapté par l'entrepreneur à son projet.

Celui-ci peut donc, à sa convenance, développer ou réduire certaines des parties, la longueur moyenne d'un plan de développement étant de 20 à 50 pages.

Retrouvez à cette page le modèle.

Business plan : les 60 questions à se poser pour l'élaborer.

Pour peaufiner l'équilibre financier et commercial de votre projet, mais aussi pour convaincre banquiers et investisseurs de vous prêter de l'argent, votre business plan sera votre meilleur atout.

Vous trouverez une check-list sur le site lentreprise.com pour vous aider à le préparer et à évaluer si vous êtes fin prêt.

Un dossier réalisé avec les experts de KPMG à lire ici.

Ressources pour créer votre business plan (Start-up) :

Que votre projet soit de petite ou grande taille, stratégique ou pas, il est indispensable de passer par une étape de formalisation et d’évaluation du return potentiel de votre projet.

Certains pourront se permettre de valider leur projet de manière assez informelle, d’autres pour des projets plus importants (Start-up) ou pour lever des capitaux devront aller jusqu’à l’établissement d’un business plan complet.

L’étape de rédaction d’un business plan permet généralement de mettre à plat votre projet : la suite ici.

Bonne lecture.

MARKETING ETHNIQUE : TENDANCES HALAL

Pour faciliter la discussion entre Professionnels

Le Blog TENDANCES Halal

Vise à lier le savoir faire de l' entreprise , l'information sur les affaires , les nouveauxproduits , et les habitudes de consommations ...

Le Blog TENDANCES Halal

Apporte des mises à jour sur le Halal Food et les nouvelles tendances ...

Rédacteur Nasrédine

Qui êtes-vous ?

Ma carriére active m'a conduite en quelques années de l'Agronomie, à l'Import / Export , à Une agence de communication / Marketing , puis à la mise en place de régie pub (presse, radio, magazine...), un petit tour par le MIN de RUNGIS (Paris , FRANCE) et enfin au marketing / commercial à international notamment de produits financiers.

Actuellement chargé de développement pour une Agence de communication...

Merci de me critiquer , rectifiez , toutes vos infos sont bienvenues !.

Bonne visite sur ce site.

Mercator Théories et nouvelles pratiques du marketing

Le Mercator est complet et accessible. Avec plus d'un millier de pages, plus de 1 000 exemples, près de 500 illustrations et tableaux, il couvre l'ensemble du marketing.

Le Mercator est opérationnel. Les concepts fondamentaux du marketing sont rattachés à leurs applications concrètes, aux bonnes pratiques et aux innovations réelles. Le Mercator accompagne les changements du marketing.

I l consacre de nombreux développements à Internet et aux technologies numériques et propose une vision intégrée du marketing classique et du marketing numérique. Le Mercator innove à chaque édition.


Premier manuel de marketing à être entièrement en couleurs, à développer un site Web compagnon, à proposer des quiz par CD-ROM..., il innove encore avec la 9e édition.

Biographie de l'auteur

Jacques Lendrevie est Professeur honoraire à HEC où il a dirigé la majeure Marketing et a été titulaire de la chaire Marcel Bleustein-Blanchet. Il a occupé plusieurs fonctions opérationnelles en entreprise. Il est consultant, coauteur du Publicitor et directeur de la série e-learning marketing chez Crossknowledge.

Julien Lévy est Professeur affilié à HEC où il dirige la spécialisation en e-business (Management et Nouvelles Technologies). Il coordonne l'enseignement du marketing en Executive MBA et à HEC Entrepreneurs, et donne le cours magistral de marketing à Sciences-Po Paris. Il est également consultant en entreprise et préside une société de service.

Denis Lindon a fondé et présidé la Sofres avant de devenir Professeur de marketing à HEC et consultant en stratégie marketing et en formation de cadres.


Mercator Théories et nouvelles pratiques du marketing de Jacques Lendrevie Julien Lévy, Denis Lindon



Broché : 1230 pages
Editeur : Dunod ; Édition
9e édition
Langue : Français
ISBN-10 : 2100534416
ISBN-13 : 9782100534418



Pour commander l'ouvrage.

Grand jury de la publicité africaine : Pour encourager la professionnalisation...

Malgré l’essor que connaît la communication, le secteur de la publicité reste généralement embryonnaire dans la plupart des pays africains. Mais la grande menace est celle du manque de professionnalisme de plus en plus marquant, aggravé par la déprofessionnalisation du secteur envahi par des amateurs qui y entrent comme sur un marché quelconque, pour gagner de l’argent.

La qualité et l’évolution du secteur vers de nouveaux concepts et les grands marchés publicitaires mondiaux, s’en trouve handicapées. Si on n’y prend pas garde, le mauvaise publicité risque de chasser la bonne.

Pour faire face à ce problème la Côte d’Ivoire innove, en lançant en mai dernier un concours pour primer les meilleures productions publicitaires. Le jury est international et un Béninois y fait partie.
Ce sont 80 oeuvres publicitaires qui sont soumises à un jury composé de MM Ibrahim Sy Savané ministre ivoirien de la communication, une icône de la publicité en Côte d’ivoire, et président du Grand jury, Raoul Blé, secrétaire et 7 autres membres. Parmi ceux-ci, notre compatriote Justin Dovoèdo, professionnel de la publicité et de la communication, directeur de la communication à Millénium Challenge Account-Bénin, Sidiki Bakaba, directeur du Palais de la culture et Daniel Cardot (France). Le comité d’organisation est présidé par Antoinette Kouamé.

Les 80 créations publicitaires ont été remises sur supports CD et concerne 5 domaines promotionnels à savoir : transport, téléphonie mobile, agroalimentaire, établissements financiers.

Les résultats du concours seront publiés en octobre prochain au cours d’une grande soirée des récompenses.

Le but est d’encourager les meilleurs talents et d’attirer les jeunes qui s’intéressent à l’action publicitaire vers une vision plus professionnelle du métier qui est appelé à connaître une plus grande éclosion en Afrique dans les années à venir, compte tenu de l’importance que prend la communication aujourd’hui dans le domaine de l’institutionnel, des produits et des services comme du marketing social.

L.BJournal L'AUTRE QUOTIDIEN 08/09/09
Transmis par alexandre le Mardi 08 septembre 2009 à 11:05:10

Quels sont pour vous les meilleurs livres de Marketing ?

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Bonne lecture !

Le marché publicitaire repart à la hausse.

Lire l'article en cliquant ici !

La France, le pays où l'on n'aime pas la pub !

Alors que la publicité s'affiche partoutdans la rue, seuls 35 % des Français estiment qu'elle apporte une information utile surles grands sujets de société. Crédits photo : Ian HANNING/REA.

Une étude Nielsen, à l'initiative des annonceurs, montre le plébiscite des pays émergents et la méfiance de l'Europe de l'Ouest à l'égard des messages commerciaux.



Une claque pour les marques, les publicitaires et les médias français. De tous les pays du monde, l'Hexagone apparaît comme celui où l'on rejette le plus la publicité. Pour la première fois, la Fédération mondiale des annonceurs (FMA) a chargé l'institut Nielsen de sonder 25 500 consommateurs, répartis dans 50 marchés différents, sur la fonction qu'ils attribuent au message publicitaire. Le verdict est sans appel, tant l'opinion française s'avère rétive. «De quoi se demander si, pour un même euro dépensé en communication, le retour sur investissement n'est pas plus favorable à l'étranger !» , s'interroge Gérard Noël, le vice-président délégué général de l'Union des annonceurs (UDA) en France. Et les publicitaires de déplorer «ce climat de méfiance entretenu par les pouvoirs publics, dont les conséquences économiques pèsent lourd sur notre pays».

La publicité indissociable du rapport à la consommation



Sans surprise, en Amérique latine, Asie-Pacifique, Afrique et Moyen-Orient, la publicité fait l'objet d'un plébiscite populaire : «Elle est d'autant mieux perçue que l'accès à la consommation est assimilé à un mieux-vivre et que la publicité est perçue comme un guide dans ce monde qui s'ouvre au consommateur», souligne Gérard Noël. Moins attendues, en revanche, sont les réactions des populations britanniques et nord-américaines, lorsque Nielsen a mené l'enquête en mai dernier. Ces marchés ont été frappés de plein fouet par la crise. Pourtant, le regard des consommateurs anglo-saxons demeure ancré dans «une solide culture du libéralisme et de l'économie de marché au sein de laquelle la publicité a un rôle clé à jouer», note Gérard Noël.






C'est donc l'Europe de l'Ouest qui se montre la plus critique, avec en tête la France et l'Allemagne, cette dernière étant réputée pour son peu d'appétence en matière de consommation. De son côté, la France est, d'abord, l'un des pays les moins exposés à la pression publicitaire. En 2008, ses investissements en communication ne dépassaient pas 0,51 % du PIB, contre 0,67 % pour la Grande-Bretagne et 0,99 % pour les États-Unis.

Les Français admettent - du bout des lèvres - que la publicité remplit une fonction d'ordre économique : 56 % d'entre eux jugent qu'elle stimule la concurrence et favorise des prix plus bas, alors que 73 % des Américains et 64 % des Chinois se rangent à cet avis. En revanche, dès qu'il s'agit de l'impact de la publicité au niveau personnel («elle attire mon attention », «elle est distrayante», «elle aide le consommateur», «elle est utile sur les sujets de société»), le nombre d'avis négatifs devient largement dominant.

Le paradoxe de la réglementation

Le système français serait-il dans l'impasse ? La France s'est dotée de l'une des législations les plus contraignantes et les plus sévères en matière d'expression publicitaire. Dans le même temps, sa population se tient plus que tout autres sur ses gardes face aux messages commerciaux. Plus on réglemente, plus la distance se creuse entre le public et la publicité, et plus la méfiance grandit à l'égard de la publicité. On conclurait presque au cercle vicieux.

Pour Nicolas Bordas, président de l'AACC (Association des agences conseils en publicité), « les élus prennent la publicité comme bouc émissaire des maux de notre société. Mais, avant d'être un agent culturel et social, la publicité est d'abord un levier économique dont la France a plus besoin que jamais en période de relance. On voit aujourd'hui de grands annonceurs, même français, procéder à des arbitrages économiques en faveur d'autres pays où l'accueil est plus favorable à la publicité. Les pouvoirs publics doivent prendre la mesure de mouvement. »

Des marques mondiales,des approches locales

64 % des Britanniques, 59 % des Italiens et 52 % des Espagnols estiment que la publicité apporte une information utile sur de grands sujets de société. En revanche, seuls 37 % des Allemands et 35 % des Français approuvent cette assertion. De tels écarts de perception du message publicitaire entre les différents pays conduisent à s'interroger sur le bien-fondé de la mondialisation des marques et de leurs campagnes de communication.

«Les grands annonceurs ne nient pas les disparités économiques et culturelles, au contraire, analyse Arthur Sadoun, président de Publicis France. La compétitivité exige des marques internationales. Et chacune d'elles s'impose, en effet, en déployant, au niveau mondial, une vision unique qui la différencie de ses concurrents. Néanmoins, l'exécution créative de cette vision - la façon dont elle est formulée au consommateur - n'est pas nécessairement homogène. Elle sera modulée en fonction de la maturité du marché ciblé, de la marque elle-même et de sa clientèle.».

Article publié par Sonia Devillers le 19/10/2009 sur : lefigaro.fr

lundi 5 octobre 2009

Marketing associatif : Clasis agence de marketing direct pour les associations.

CLASIS, des solutions de marketing et un accompagnement pour les associations.

Clasis est une agence de marketing direct spécialisée dans le secteur associatif. L'agence élabore des modèles d'organisation et de financement pour des associations, des syndicats, des partis politiques ou des écoles, reposant sur une approche globale du marketing.

Elle offre des solutions de marketing et un accompagnement pour les associations : base de données Kyrielle, réalisation de site web, marketing opérationnel, buzz marketing, création d'argumentaire, de plaquettes, recherche de partenaires publicitaires, stratégie marketing, création d'image, conseil et organisation.


Un partenaire qui s’adapte à vos besoins

Depuis sa création en 2005, CLASIS propose un ensemble de solutions de marketing et un accompagnement des structures associatives.

Fort de ses références dans le secteur associatif, elle offre un service de Conseil en stratégie ainsi qu’en marketing opérationnel.

Ayant expérimenté les difficultés de la gestion associative, CLASIS a développé des logiciels et systèmes d’informations évolutifs pour la gestion de données.

Découvrir quelques références de CLASIS : la Fondation de Service Politique, les Contribuables Associés, Action Jeunes, l’ANFE, l’ASPE, Drogue Danger Débat…


CLASIS, des solutions de marketing et un accompagnement pour les associations

* Gestion de données

+ Commercialisation de la base de gestion de données KYRIELLE
+ Commercialisation de WEB ALUMNI, solution pour réseaux d’anciens sur internet
+ Réalisation de sites Web

* Marketing opérationnel

+ Marketing de campagnes d’information, sensibilisation, pétitions
+ Buzz marketing
+ Création d’argumentaires, de plaquettes et de mailings d’appels de dons
+ Réalisation de plans fichiers, courtage d’adresses, recherche de fichiers d’adresses postales ou internet
+ Recherche de partenaires publicitaires

* Conseil & stratégie

+ Stratégie marketing
+ Création d'image « on-line » et « off-line »
+ Conseil en organisation

* Financement

+ Réalisations de campagnes d’appel de cotisations ou de collecte de fonds, au format papier et internet

www.clasis.fr

CHERIF A Aziz

dimanche 4 octobre 2009

Le marketing pour tous

Vous viendrait-il à l’idée de vous lancer dans la fabrication de radiateurs pour les vendre aux Antilles ou des bâtonnets de glace pour les vendre aux Esquimaux (du même nom…) ? Non, à moins de tenter d’entrer dans le Guiness des records…


Le marketing n’est rien d’autre que l’application de règles de bon sens et d’un peu de méthodologie.
Rien de fumeux ni de théorique : le marketing, c’est du sens pratique… et de l’intuition ou du talent.

Si l’on devait néanmoins le définir, le marketing se déterminerait comme l’adaptation par son produit aux besoins et attentes de cibles prédéterminées.

Je tente par là d’appliquer ce que Léonard de Vinci disait de la simplicité : elle est le comble du raffinement de la pensée. J’ajouterai qu’elle est surtout le moyen le plus efficace pour se faire comprendre.

Maintenant, partons de cette définition et commentons-la à rebours :

- La cible prédéterminée : Quelle est-elle ? Celle qui présentera le plus d’intérêt pour votre activité. Il faut la définir en critères « repérables» dans la population : âge, région ou pays, niveau de revenus…

- Ses besoins ou attentes : votre vie professionnelle vous a peut-être déjà permis de les dégager. Evidemment, rien ne vaut une bonne étude de marché (elles ne sont pas toutes bonnes). Or, savez-vous qu’Internet permet aujourd’hui, à coût zéro, de trouver toutes sortes d’informations utiles ?

- Définir le produit en fonction de ce que votre marché attend. Il peut suffire d’un « habillage » de l’existant afin de le faire coller à ce que l’on attend de vous. Au besoin, créez-le ! L'Afrique regorge de jeunes inventeurs bourrés d’idées qui n’attendent que l’appui logistique et financier pour se lancer.Un produit conçu selon cette méthodologie est déjà vendu avant même d’être créé et diffusé.

A ce sujet, parlons du dernier axe du marketing et non le moindre : la communication – distribution, que l’on confond d’ailleurs souvent avec le marketing lui-même. Si le produit est bien conçu, sa vente ne posera pas de problème. Une bonne communication - distribution ne fera que potentialiser sa diffusion ou corriger les quelques défauts qu’il pourrait avoir, comme son prix…

Avez-vous pensé à la distribution ? Distribution directe, indirecte, franchise, sur Internet, sont autant de bonnes questions à se poser. Leur utilité sera liée à la nature du produit ou service (simple, complexe…).

L’avenir appartient aux audacieux ! Mais ne vous lancez pas sans biscuits : entourez-vous d’appuis et de conseils, sans pour autant rechercher des associés. La bonne idée doit rester la vôtre. Enfin, consultez un avocat d’affaires pour valider votre business plan et allez voir les banquiers : même si on les dit occupés à d’autres tâches en ce moment, on ne peut rien faire d’intéressant sans leur aide, apprenez donc leur langage et là encore, faites du marketing !

Par Gérard PICOVSCHI

Mieux vaut faire du marketing tôt que tard

Le marketing est à la base de la conception de votre entreprise.

En effet, lorsque vous mettez en place le concept de votre entreprise, déjà en phase d’idée, vous faites déjà du marketing. Ensuite, lors de l'élaboration de votre business plan, vous faites encore appel au marketing, pour l'aspect commercial.

Malheureusement, beaucoup de créateurs, une fois ces étapes passées, ne consacrent plus leur temps au marketing mais à la gestion opérationnelle et administrative de leur entreprise.

C’est souvent trop tard qu’ils se rendent compte qu’ils n’auraient pas dû arrêter cette « démarche marketing » qui du coup, leur fait perdre du temps et de l'argent.

Le processus marketing ne doit jamais être rompu, il permet de maintenir le dynamisme de l’entreprise. Il permet de préserver l’existant et de préparer l’avenir.

Des créateurs qui ont déposé le bilan vous diront qu’une de leurs erreurs est d’être trop restés dans la gestion administrative et d’avoir compris trop tard où se trouvait la vraie valeur de leur entreprise (le marché = les clients).

En effet, tout commence avec une réduction du budget marketing, ensuite on perd de vue le client - et voilà ce qui semble être un succès d’abord commence à changer en échec, plus au moins vite, tout dépend de la concurrence et à la fin ce n’est sûrement pas le directeur de gestion de finance qui est responsable du problème.

La survie d'une entrprise repose sur le marché (les clients) ; l’entreprise doit en effet adapter son offre selon les besoins et les attentes du client, grâce au Marketing.

Pensez toujours, MARCHE, CLIENTS, donc MARKETING.

N’attendez pas qu'il soit trop tard pour vous y mettre !

Par Vanina DELOBELLE le 14 septembre 2009

Renault change sa signature


EXCLUSIF. Le groupe français vient d'adopter un nouveau slogan : "Changeons de vie, changeons l'automobile" remplace "Il est temps de changer". Le directeur marketing se donne "1.000 jours pour l'installer et marquer les esprits".

Renault est un "créateur d'automobiles", mais également un créateur de signatures.
Après les très fameux "Des voitures à vivre", "Créateur d'automobile" ou encore "Il est temps de changer", la firme au losange vient de présenter un nouveau slogan : "Changeons de vie, changeons l'automobile", sur deux lignes, pour les pays francophones.
Il va également adopter une nouvelle signature dans les pays anglophones, avec "Drive the change".

Stephen Norman, le directeur marketing monde du groupe Renault, explique sur une vidéo publiée sur le site Internet "Série Limitée", que "le changement était apparu avec la Mégane ["Il est temps de changer"]. Cette signature a duré quand même 15 ans, ce qui dans la vie d'une marque automobile est énorme, personne n'a fait autant.
Entre 1985 et 2000, le slogan "Les voitures à vivre" est entré dans le patrimoine, dans la culture et dans les racines de Renault". Il précise d'ailleurs que le précédent slogan "n'est absolument pas abandonné dans l'interprétation que nous faisons du produit même".

"1.000 jours pour installer cette signature"

Le directeur marketing se donne "1.000 jours pour installer cette signature et marquer les esprits", le temps que le dernier modèle de gamme écologique ECO2 sorte, en 2012.
Cette nouvelle signature sera déclinée sur tous les médias, mais "nous ne l'appliquerons pas toute voile dehors", prévient Stephen Norman. "Il faut quand même respecter le client et le prospect, en appliquant telle signature sur les choses qui ont manifestement changé ou qui sont en passe de l'être", ajoute-t-il.

S'adapter aux gens et à leurs besoins

Cette nouvelle signature va permettre au constructeur français "de marquer la différence entre Renault et la concurrence" et de souligner "qu'aujourd'hui, ce ne sont plus les gens qui s'adaptent à l'automobile, mais l'automobile à s'adapter aux gens", poursuit Stephen Norman.
"Renault se veut centrer sur les gens. Depuis la Renault 16, en passant par la Renault 5, l'Espace, la Twingo, évidemment le summum du Scénic et puis tout dernièrement la Logan, nous souhaitons et donnons l'accès pour tout le monde à l'automobile. Nous pensons d'ailleurs que nous serons l'une des premières marques à marquer ce changement par "Drive the change", ajoute-t-il.

Cette signature se veut "fidèle aux valeurs de la marque et exprime la volonté de Renault, entreprise innovante et proche des gens, d'être le pionnier de la mobilité durable pour tous".
Le directeur de marketing du groupe automobile juge qu'il réside trois interprétations dans cette nouvelle signature : conduire la voiture qui a changé, s'associer au changement qui est nécessaire collectivement, notamment en matière de développement durable, et "surtout, dans le sens anglais, faire partie de ce changement".

"Etre digne de notre héritage"

Avec ce nouveau slogan, Renault, qui fête cette année son 111e anniversaire, veut être "digne de son héritage sans avoir la prétention de dire que "Drive the change" ou "Changons de vie, changeons l'automobile" dureront 15 ans", indique Stephen Norman.
"La nouvelle signature de Renault exprime les valeurs profondes de notre culture d'entreprise - enthousiasme, innovation, proximité - et marque une nouvelle rupture dans la conception et l'usage de l'automobile", explique encore le dirigeant.

Renault reste par contre fidèle à son identité visuelle, en conservant son fameux losange sur fond jaune.


JULIEN POMPEY, Les Echos

samedi 3 octobre 2009

Presse & Marketing : Planète jeunes, de nouvelles orientations


Planète jeunes, une nouvelle signature : "L’Afrique, le monde et moi"

A partir du 100e numéro de Planète jeunes à paraître ce 1er octobre 2009, le journal change de périodicité. Planète jeunes passe de bimensuel à mensuel.


Aussi, le journal change de forme, de maquette et adopte un nouveau logo. Toutes ces informations ont été rendues publiques ce 22 septembre, à travers une conférence de presse au Centre de presse Norbert Zongo. "Les subventions dont nous bénéficions ont commené à se réduire comme une peau de chagrin et si nous voulons que ce magazine survive avec l’apport qu’il fait aux jeunes au niveau de l’information et la formation, on est obligés de s’adapter aux besoins économiques actuels".

Planète jeunes prend donc place parmi les mensuels et espère ainsi fidéliser ses lecteurs et gagner également quelques parts de marché dans le domaine de la publicité.

Les conférenciers ont par ailleurs, annoncé qu’il sera plus facile aux lecteurs de planète jeunes de détacher plus facilement les cartes et les fiches d’informations pratiques. De nouvelles rubriques feront également leur apparition dans le journal. Il s’agit entre autres de pages lycée au roman photo junior, de sujets de sciences, de reportages, etc.

Le journal coûte désormais 1 000 F CFA au lieu de 700 F CFA. Le changement du prix, selon le rédacteur en chef de Planète jeunes, Eyoum N’Gangue est du au fait que le magazine ne reçoit plus de subventions.

Pour lui "avec ses habits neufs, Planète jeunes s’offre aussi une nouvelle signature". "L’Afrique, le monde et moi". Selon la responsable de communication Planète jeunes nouvelle vision "c’est un magazine plus régulier parce qu’il passe de bimensuel à mensuel, plus proche des lectorats.

Le contenu actuel répond à la demande des jeunes d’être plus proches de la vie personnelle, d’être plus proche dans le désir culturel qu’ils ont, plus proches de la connaissance dont ils ont besoin sur le monde".

Et d’ajouter que la hausse du prix à 1 000 F CFA est une question de survie du journal.

Souaïbou Barry
Sidwaya

Comment toucher une cible jeune par le biais du marketing mobile : le cas Coca Cola

Depuis 2007, le mobile est devenu un média clé dans les campagnes de communication.

Coca Cola, qui fut l’un des premiers acteurs en France à intégrer le mobile dans sa stratégie de communication globale, ne s’y est pas trompé en réalisant depuis plusieurs années des opérations de marketing sur mobile :


1. envoi de SMS commerciaux,
2. programme de fidélisation par couponing,
3. mise en ligne d'un site Internet mobile Coca-Cola ou d'un site wap dédié lors de la coupe du monde de football …
› Lancement de la plate-forme de communication mondiale : "Prends la vie côté Coca-Cola"
A l'occasion du lancement événementiel de sa plate-forme de communication mondiale : "Prends la vie côté Coca-Cola", la marque n’a pas hésité à utiliser toute la palette d'outils offerts par l'Internet mobile :

- envoi de messages commerciaux par SMS,

- de MMS,

- affichage de bandeaux sur les sites wap …
Coca-cola, pour ancrer sa nouvelle signature auprès des consommateurs, a ainsi mis en place une vaste campagne de communication basée sur des films publicitaires, comme le fameux « Happiness Factory ».

› Le cas « Happiness Factory »
« The Happiness Factory » est le premier film publicitaire d’une série qui met en scène la nouvelle plateforme de marque « Prends la vie côté Coca-Cola ».

L’opération Happiness Factory fut l’occasion pour la marque d’utiliser l'ensemble de la palette des outils de communication mobile.

« Happiness Factory » montre l'envers du décor onirique et fantastique d'un distributeur automatique de Coca-Cola.

Ce film fut repris sur YouTube et MySpace et fait le tour de la blogosphère. Cela a créé un buzz que CocaCola a amplifié en communiquant, en amont, sur les médias digitaux, l'Internet bien sûr, mais également le mobile.

› La cible
Les hommes et femmes de – de 25 ans.

› Les objectifs

* développez une relation personnalisée avec le cœur de cible grâce à des contenus exclusifs
* amplifier le buzz généré par le film en utilisant tous le canaux de communication offerts par le mobile
* créer du trafic sur le site mobil « prends la vie coté coca cola

› Les moyens
La campagne mobile a été relayée par quatre leviers :

1. une campagne de SMS Push wap,
2. l'envoi du film par MMS vidéo à 20.000 contacts de la base SFR Vodafone Live,
3. l'achat d'espace sur les portails Internet mobile Orange World et SFR Vodafone Live,
4. et enfin la présence sur l'espace jeu-concours SFR PromoLive avec la possibilité de télécharger le film publicitaire et un jeu Java pour mobile.

Le tout convergeant vers le site Internet mobile wap.coca-cola.fr, qui proposait aux mobinautes de télécharger le spot Happiness Factory et des contenus associés (fonds d'écrans et jeux).

La campagne Happiness Factory a également été relayée sur le Web avec un plan de communication en deux phases :

1. une présence publicitaire sur les sites de partage de vidéos (Dailymotion, YouTube, MySpace, Wideo, Lycos MyBuzz) pour amplifier l'effet viral créé par la copie en circulation
2. l’achat d'espace classique sur les portails de Yahoo, Skyblog, Skyrock, M6, AOL, et Lycos. Le volet Web a permis de générer 47 millions de contacts, pour un budget quatre fois supérieur à celui de la campagne mobile, puisque seul 20 % du budget digital de la campagne « Happiness Factory » ont été investis sur le mobile.

› L'effet Buzz
La campagne eut un formidable effet viral.
Elle était disponible sur le site Internet mobile « wap.coca-cola.fr. » et également via le mobile en envoyant « Coke » par SMS au 30130.

Le site proposait aux mobinautes de découvrir la publicité et des contenus associés par exemple :
1. des fonds d’écran
2. et un jeu de plateforme exclusif et gratuit où le mobinaute est plongé dans l’univers de la pub.

Parallèlement, le site « wap.coca-cola.fr » permettait d’accéder aux Plans Coke, un jeu promotionnel permettant de gagner plus de 800 cadeaux par jour en récupérant des codes sur les bouteilles de Coca-Cola et Cola Light de 50cl.

Le plan media mobile se composait :

1. de l’envoi de SMS qui permettaient de se connecter directement au site Internet mobile de Coca-Cola (wap push)
2. et de l’envoi du film par MMS vidéo.

› Les résultats

En trois semaines, la campagne sur mobile a généré plus d'un million de contacts, de mobinautes exposés à la signature Coca-Cola.

Les 100.000 SMS Push wap envoyés affichaient un taux de clic de :

1. 7,5 % sur la base de clients Orange,
2. 20 % sur celle de SFR,

Contre 3 % en moyenne pour ce type de campagne.

Le taux de clic sur les bandeaux publicitaire s'élevait à :

1. 3,7 % sur le portail Orange World
2. et 10 % sur Vodafone Live,

Contre une moyenne du marché de 1,5 %.

Le trafic sur le site wap Coca-Cola a dépassé de plus de 50 % les objectifs de la marque, avec quelque 60.000 visiteurs uniques et 170.000 pages vues pendant la durée de l'opération en novembre.
La stratégie web et mobile de Coca Cola
Parlons de la campagne mobile de Coca Cola intitulée « Buvez bougez». Coca-Cola investit le monde de la publicité sur mobile avec cette campagne. C’était une opération de communication originale destinée à soutenir sur mobile la promotion « Buvez Bougez » autour de sa bouteille « Grip&Go ».
Le groupe de distribution et de vente de boissons gazéifiées au cola souhaitait sensibiliser la cible des 20-39 ans en mobilité, potentiellement intéressés par sa nouvelle bouteille « Grip&Go ».
L’objectif étant de mettre en avant la bouteille Grip&Go : bouteille qui cible les sportifs avec une meilleure prise en main et un bouchon adapté. 

Le principe de l’opération : cette opération se présente sous la forme d’un jeu de chasse au trésor ou, plus exactement, de chasse au logo sur les mobiles. Elle permettait de gagner des cadeaux chaque semaine un iPod Touch, un lecteur MP3 par semaine.

L’opération se déroule sur tout le territoire français. Les mobinautes entrent simplement leur code postal de la ville où ils se trouvent sur le site mobile de Coca Cola. La maps Google calcule la distance qui les sépare du logo Coca-Cola à retrouver (et qui permet de gagner l’iPod). Le participant choisit ensuite une direction (Nord, Ouest, Sud, Est) et une distance, pour tenter de se rapprocher au mieux de l’emplacement du logo Coca-Cola (intégré et à retrouver sur Google Maps).

Chacun dispose de trois essais par jour et peut donc se déplacer 3 fois par jour. Il poursuit son exploration de la carte de France jusqu’au dimanche de la semaine, jour de tirage au sort. Les participants arrivés dans un rayon de moins de 20 kms du logo pourront alors participer à un tirage au sort pour tenter de remporter un Ipod Touch. Cette campagne, intelligente et ludique, qui utilisait de manière originale les technologies mobiles (GPS, Google Maps), demandait un investissement de la part des consommateurs qui deviennent "acteurs" et prennent les choses en mains.

Coca-Cola a d’ailleurs gagné, en 2008, le Grand Prix Marketing Mobile Stratégies.Le mobile permet à Coca Cola de construire une véritable stratégie de marketing mobile en touchant une cible jeune de 12-25 ans et en créant avec elle une relation personnalisée, même en situation de mobilité.
L'auteur de cet article : Sophie Richard Lanneyrie Experte marketing internet sur marketing-etudiant.fr

Note de afrikmkg : Nous sommes très en retard dans l'éducation des nouvelles technologies aux jeunes / étudiants. Il est donc important que vous preniez l'initiative de vous initier à l'Internet par vous même. Pour tout étudiant en marketing, l'Internet est inévitable, mieux c'est un facteur fort de différenciation sur le marché de l'emploi. Alors foncez !